No CrossRef data available.
Published online by Cambridge University Press: 04 May 2017
1 - NDT. Qui est plus connu pour être une chanson de Fela Kuti et que l’on peut traduire par « qui ne sait pas apprendra ».
2 - Mamadou Diouf soutient que les récits ver-naculaires du passé africain se sont « échappés » du registre littéraire – c’est-à-dire qu’ils sont non-écrits – et que les historiens devraient être attentifs à de telles histoires sous-nationales dans le cadre de l’historiographie.
3 - La référence clé pour le concept de « talking book» est l’ouvrage d’ Gates, Henry Louis, The signifying monkey: A theory of Afro-American literary criticism, New York, Oxford University Press, 1988 Google Scholar.
4 - Sur l’école ibadanaise, dans laquelle les historiens Kenneth Onwuka Diké et Jacob Festus Ade Ajayi était des figures majeures, voir Dulucq, Sophie, «Décoloniser l’histoire de l’Afrique: une impossible entreprise ? L’exemple de l’école historique d’Ibadan (Nigeria) (1950-1980) », in Dulucq, S. et Zytnicki, C. (dir.), Décoloniser l’histoire ? De l’histoire coloniale aux histoires nationales en Amérique latine et en Afrique, XIXe-XXe siècles, Saint-Denis, Société française d’histoire d’outre-mer, 2003 Google Scholar; Lovejoy, Paul E., « The Ibadan school of historiography and its critics », in Falola, T. (dir.), African historiography: Essays in honour of Jacob Ade Ajayi, Ikeja, Longman, 1993 Google Scholar. P. Lovejoy note que « les leçons de la Guerre civile nigériane [...] ont appris à quelques chercheurs que les promesses de l’historiographie nationaliste précédente n’avait pas été assez fortes », p. 198.