Published online by Cambridge University Press: 10 November 2009
Developments and problems in contemporary thinking about strategy
The purpose of this analysis is to review the most important changes in contemporary thinking about strategy and to draw certain conclusions. Beginning with the different stages in the evolution of “classical” theories and the coming of “academic” ideas developed as explanations of a strategy of deterrence between the two super-powers, the analysis emphasizes the relation between the new explanations of conflicts among social groups and the new categories for defining strategy. It also stresses the relation between a theory of the multiple causes of conflicts and wars and the development of the interdisciplinary interpretation of the analysis of strategy. In conclusion, it is argued that the current stage of research into a “qualitative” change in the analysis of strategy also implies new objectives for strategy that are required for the problem of the survival of mankind.
1 Machiavel écrivit son « Art de la Guerre » en 1520; ce livre est resté l'un des textes de base de la pensée stratégique en raison des principes énoncés sur l'organisation des forces armées, la préparation des batailles et les règles générales de la discipline militaire.
2 I. Jean de Bloch, un banquier, écrivit « Le Futur de la Guerre » en russe, explicitant en 1894 les raisons pourquoi les changements dans les armements résulteraient en une impossibilité de conduire les guerres comme elles l'avaient été jusqu'à présent. Voir spécialement la conversation entre l'auteur et Stead, W.T., dans l'édition américaine, de Bloch, Jean, The Future of War (Boston 1914), viii.Google Scholar
3 Sur les hommes politiques comme stratèges militaires voir : sur Churchill, Lewin, Ronald, Churchill as Warlord (Londres 1973)Google Scholar; sur Bismark, voir l'article de A.J.P. Taylor, dans l'Encyclopedia Britannica, 15e édition, vol. 2, 1077–85
4 Voir l'introduction de Dangeville, Roger aux Ecrits Militaires de Marx et Engels (Paris 1970), 9–10Google Scholar
5 Sur le développement de la pensée stratégique voir la collection d'études présentée par Earle, Edward Mead, Makers of Modern Strategy (Princeton 1943)Google Scholar; voir aussi pour une analyse d'ensemble de la période moderne le livre de Wallach, J.L., Kriegstheorien ihre entwicklung im 19. und 20. Jahrhundert (Frankfurt am Main 1970)Google Scholar; pour l'examen de comment cette pensée se développe à cette époque dans chaque pays, voir pour la France l'étude de Carrias, Eugène, La Pensée Militaire Française' (Paris 1960)Google Scholar; pour la Bretagne, Grande, voir Luvaas, Jay, The Education of an Army, British Military Thought 1815–1940 (Chicago 1964)Google Scholar; pour l'Allemagne, voir Ritter, Gerhard, Das Problem des « Militarismus » in Deutsch-land (Munich 1954–68).Google Scholar
6 Comme référence de base sur la politique de la défense britannique voir le livre de Howard, Michael, The Continental Commitment (Harmondsworth 1974).Google Scholar
7 Maurice, Major-General Sir F., British Strategy (Londres 1929), 49Google Scholar (toutes les traductions de l'anglais sont de l'auteur)
8 Ibid., 243
9 Ministère de la Guerre, Décret du 28–10–1913, cité par Eugène Carrias, La Pensée Militaire Française, 297; pour l'influence de Foch sur la stratégie française, voir Hart, B.H. Liddell, Foch (Londres 1931)Google Scholar
10 Gorce, Paul-Marie de la, La République et son Armée (Paris 1963), 345Google Scholar
11 Voir à ce sujet le livre du de Gaulle, Général, Vers l'Armée de Métier (Paris 1934Google Scholar), préconisant la constitution d'un corps cuirrassé; pour cette période voir aussi Raynaud, Paul, Le Problème Militaire Français (Paris 1937)Google Scholar
12 Sur cette période de la stratégie allemande voir le premier volume de l'œuvre de Gerhard Ritter, Das Problem; aussi de Graig, G.A., The Politics of the German Army, 1640–1945 (Londres 1955)Google Scholar
13 Sur Ludendorff voir Goodspeed, D.J., Ludendorff, Genius of World War I (Toronto 1966).Google Scholar
14 Shirer, William L., The Rise and Fall of the Third Reich (New-York 1960)Google Scholar
15 Pour une narrative de l'expérience personnelle de Hart, B.H. Liddell voir ses Memoirs 2 vols (Londres 1965)Google Scholar; la pensée de cet auteur se trouve présentée dans son Thoughts on War (Londres 1944), et Strategy, the Indirect Approach (Londres, 3rd ed., 1954). Pour les écrits de Fuller, J.F.C., voir son The Conduct of War (Londres 1961)Google Scholar; sur la stratégie de la Première Guerre mondiale, voir Hankey, Lord, The Supreme Command, 1914–1918, 2 vols (Londres 1961).Google Scholar
16 Pour la « grande stratégie » de la Deuxième Guerre mondiale voir, Ehrman, John, Grand Strategy (Londres 1956)Google Scholar; Natloff, Maurice and Snell, Edwin W., The War Department, Strategic Planning for coalition warfare, Office of the Chief of Military History, Department of the Army (Washington, D.C., 1953)Google Scholar; pour une introduction générale aux questions stratégiques de la Deuxième Guerre mondiale : Hart, B.H. Liddell, A History of the Second World War (Londres 1970)Google Scholar
17 Voir, par exemple, les mémoires de Stimson, Henry L., On Active Service in Peace and War (New York 1947).Google Scholar
18 Bush, Vannevar, A Piece of the Action (New-York 1970), 112Google Scholar
19 Pour l'histoire du développement de la bombe nucléaire voir Hewlett, Richard and Anderson, Oscar, The New World: 1939–1946 (University Park, Penn. 1962)Google Scholar; sur la décision d'utiliser la bombe nucléaire voir Amrine, Michael, The Great Decision (New-York 1959)Google Scholar; et Batcheler, Robert, The Irreversible Decision (Boston 1962).Google Scholar
20 Voir à ce sujet Feis, Herbert, The Atomic Bomb and the End of World War II (Princeton 1970).Google Scholar
21 Pour une discussion du débat parmi les scientifiques, et les alternatives proposées à la stratégie nucléaire des Etats-Unis, voir Gilpin, Robert, American Scientists and Nuclear Weapons (Princeton 1962).CrossRefGoogle Scholar
22 L'analyse théorique de la guerre « révolutionnaire » a donné lieu à de nombreuses publications concernant essentiellement les pays du tiers-monde. Le problème de l'analyse stratégique est de séparer ce qui est « révolution » de ce qui est « guerre », afin de préciser la stratégie. L'analyse théorique a été entreprise par des auteurs se plaçant selon des points de vue divergents idéologiquement : pour l'analyse marxiste voir Debray, Regis, Révolution dans la Révolution (Paris 1967)Google Scholar; et surtout du même auteur La Critique des armes, 2 vols (Paris 1974). Pour une analyse des différentes formes de la guerre révolutionnaire voir le Baufre, Général, La Guerre Révolutionnaire (Paris 1972).Google Scholar
23 Pour une analyse des efforts de certains groupes de scientifiques aux usa, voir Smith, Alice Kimball, A Peril and a Hope (Cambridge, Mass. 1965)Google Scholar; sur l'action Internationale des chercheurs scientifiques voir Roblat, J., Scientists in the quest for Peace, A History of the Pugwash Conference (Cambridge, Mass. 1972).Google Scholar
24 Wohlstetter, Albert, « Strategy and the Natural Scientists », in Gilpin, Robert and Wright, Christopher, Scientists and National Policy-Making (New-York 1964), 229Google Scholar
25 Pour une analyse des débuts de la « nouvelle » stratégie, voir Bernard Brodie, « The Scientific Strategists », in Gilpin and Wright, Scientists, 240–56.
26 Papers, Adelphi, Survey of Strategic Studies, Institute for Strategic Studies (Londres 1970)Google Scholar; voir aussi pour les membres de cet Institut List of Members, November 1973.
27 Smith, Bruce I.R., The Rand Corporation (Cambridge, Mass. 1966)CrossRefGoogle Scholar
28 Voir les publications suivantes : Analysis for Military Decision, ed. Quade, Edward S. (Chicago 1967)Google Scholar; Systems Analysis and Policy Planning, Applications in Defense, ed. Quade, E.S. and Boucher, W.I. (Elsevier, N.Y. 1968).Google Scholar
29 Sur le développement des « Think Tanks », voir, Dickson, Paul, Think Tanks (New York 1971)Google Scholar; sur l'enseignement universitaire de la stratégie voir le « Adelphi Paper », Survey of Strategic Studies, 64 (Jan. 1970)
30 Pour l'histoire des stratèges « académiques » voir les articles de Gray, Colin S., « The Rise and Fall of Academic Strategy », Journal of the Royal United Services Institute for Defence Studies 2 (1971), 54–7Google Scholar; aussi, « Strategists: some views critical of the profession », International Journal XXVI, 4 (1971), 771–90; et « The Second Wave: New Directions in Strategic Studies », Journal of the United Services Institute for Defence Studies 4, (1973), 118; pour une autre interprétation voir le chapitre : « Strategic thinkers, Planners, Decision-Makers », par Brodie, Bernard, War and Politics (New York 1973), 433–96.Google Scholar
31 La liste des publications aux usa de première importance entre 1957 et 1965 comprend les titres suivants (uniquement sur les problèmes de la stratégie nucléaire) : Kissinger, Henry A., Nuclear Weapons and Foreign Policy (New-York 1957)Google Scholar; Brodie, Bernard, Strategy in the Missile Age (Princeton 1959)CrossRefGoogle Scholar; Schelling, T.C., The Strategy of Conflict (Cambridge, Mass. 1960)Google Scholar; Kahn, Hermann, On Thermonuclear War (Princeton 1961)Google Scholar; Kahn, Hermann, On Escalation (New-York 1965).Google Scholar
32 Aron, Raymon, Le Grand Débat, initiation à la Guerre Atomique (Paris 1963)Google Scholar; Baufre, Le Général, Introduction à la Stratégie (Paris 1963)Google Scholar; et son Dissuasion et Stratégie (Paris 1964)
33 Sokolovsky, Marshall V.D., Military Strategy (New-York 1963)Google Scholar; voir aussi de Kintner, William R. and Scott, Harriet Fast, la collection d'articles, The Nuclear Revolution in Soviet Military Affairs (Norman, Okla. 1968)Google Scholar
34 Voir Rapoport, Anatol, Strategy and Conscience (New-York 1964)Google Scholar; aussi Green, Philip, Deadly Logic (Columbus, Ohio 1966).Google Scholar
35 Hitch, Charles J. and McKean, Roland N., The Economics of Defense in the Nuclear Age (New-York 1967)Google Scholar; voir aussi Mansfield, Edwin, Defense, Science and Public Policy (New-York 1968)Google Scholar
36 Sur les prises de décision du gouvernement des Etats-Unis pendant cette période voir Halberstam, David, The Best and the Brightest (New-York 1972)Google Scholar; sur la remise en question des techniques d'évaluations par modèle voir Wildavsky, Aaron, The Revolt against the Masses (New-York 1971).Google Scholar
37 Bonanate, Luigi, La Politico della Dissuasione, La Guerra nella politico mondiale (Torino 1971), 364Google Scholar
38 Quester, George H., Nuclear Diplomacy (New-York 1970)Google Scholar; voir aussi Venezia, Jean-Claude, Stratégie Nucléaire et Relations Internationales (Paris 1971)Google Scholar
39 Voir à ce sujet : Buchan, Alastair, The End of the Post-War Era, A New Balance of World Power (London 1974).Google Scholar
40 Voir la série d'articles présentés par Northedge, F.S., The Use of Force in International Relations (London 1974)Google Scholar; voir aussi Papers, Adelphi, Force in Modern Societies: Its Place in International Politics, International Institute for Strategic Studies, 1973Google Scholar
41 Williams, Geoffrey Lee and Williams, Allan Lee, Crisis in European Defence (Londres 1974)Google Scholar
42 International Institute of Strategic Studies, Strategic Survey 1973, (London 1974)Google Scholar
43 Pour une vue d'ensemble des changements dans la pensée stratégique voir Buchan, Alastair, Problems of Modern Strategy (New-York 1970)Google Scholar, une collection de textes présentés pendant une conférence du « The Institute of Strategic Studies » à Londres en 1968
44 Voir Pfaltzgraff, Robert L., « International Relations Theory : Retrospect and Project », International Affairs 50, 1 (January 1974), 28–48CrossRefGoogle Scholar; aussi, Philips, Warren R., « Where have all the theories gone ? » World Politics XXVI, 2 (January 1974), 155–88.CrossRefGoogle Scholar
45 L'exemple le plus récent de ceci est la collection d'articles présentés par Rosencrance, Richard, The Future of the International Strategic System (San Francisco 1972).Google Scholar
46 Voir à ce sujet le livre de Nicholson, Michael, Conflict Analysis (New-York 1970)Google Scholar; voir aussi la présentation de la « pérennité » des guerres et des conflits par Richardson, Lewis F., Statistics of Deadly Quarrels (Pittsburg 1960)Google Scholar; ainsi que les études de Singer, J. David and Small, Melvin, The Wages of War, 1816–1965, A Statistical Handbook (New-York 1972)Google Scholar; voir aussi de Haas, Michael, « Social Change and National Aggressiveness, 1900–1960 », in Singer, J. David, Quantitative International Politics : Insight and Evidence, New-York 1968), 215—44.Google Scholar
47 Blainey, Geoffrey, The Causes of War (New York 1973)CrossRefGoogle Scholar
48 Voir le numéro spécial du « Le Monde Diplomatique » (mars 1974).
49 Voir les écrits de Glucksmann, André, Le Discours de la Guerre (Paris 1967)Google Scholar; ainsi que le livre de Charnay, Jean-Paul, Essai Général de Stratégie (Paris 1973).Google Scholar
50 Gallagher, Matthew P. and Spielmann, Karl S., Soviet Decision-Making for Defense, A critique of U.S. Perspectives on the Arms Race (New York 1972)Google Scholar
51 Wohlstetter, Albert, « Is there a Strategic Arms Race ? », Foreign Policy 15 (1974), 3–20CrossRefGoogle Scholar
52 Voir l'article de Myrdal, Alva, « The International Control of Disarmament », Scientific American 231, 4 (1974), 21–33Google Scholar; aussi de Greenwood, Ted, « Reconnaissance and Arms Control », in Arms Control, Readings from Scientific American, ed. York, Herbert F. (San Francisco 1974), 223–34.Google Scholar
53 Voir Atkinson, Alexander, « Social War – The Death of Classicalism in Contemporary Strategic Thought », Journal of the Royal United Services Institute for Defence Studies 119, 1 (1974), 43–7.Google Scholar
54 Hamon, Léo, La Stratégic contre la Guerre (Paris 1966)Google Scholar
55 Burns, Arthur Lee, « Scientific and Strategic-Political Theories of International Politics », in The Aberystwyth Papers, International Politics 1919–1969, ed. Porter, Brian (Londres 1972), 56–82Google Scholar; et Hassner, Pierre, « On ne badine pas avec la force », Revue Française de Science Politique XXI, 6 (1971), 1207–33CrossRefGoogle Scholar
56 Baufre, General, Stratégie pour Demain (Paris 1972)Google Scholar; voir aussi comme exemple d'une critique de l'analyse stratégique traditionnelle, Dror, Yehezkel, Crazy States, A Counterconventional Strategic Problem (Lexington 1971)Google Scholar
57 Galtung, Johan, « Peace Research », in The Social Sciences, problems and Orientations (The Hague 1968), 192–208Google Scholar; Hassner, Pierre, « On ne badine pas avec la paix », Revue Française de Science Politique XXIII, 6 (1973), 1268–1303CrossRefGoogle Scholar
58 Voir à ce sujet la conférence de Raymond Aron de 1968 au « Institute of Strategic Studies », « The Evolution of Modern Strategic Thought », in Adelphi Papers 54 (1969); reproduite en français dans son livre Etudes Politiques, sous le titre de « Remarques sur l'Evolution de la pensée stratégique », (Paris 1972), 530–59; mais ce sont les différents articles contenus dans le livre présenté par Alastair Buchan, Problems of Modern Strategy, (New-York 1970), qui montrent le mieux les divergences de vues; voir aussi de Howard, Michael, « Military Science in an Age of Peace », Journal of the United Services Institute for Defence Studies 119, 1 (1974), 3–10.Google Scholar
59 Voir à ce sujet l'étude de Stoessinger, John G., Why Nations go to War, (New-York 1974)Google Scholar
60 Brodie, Bernard, le chapitre 10, « Strategic Thinkers, Planners, Decision-makers », de son livre War and Politics (New York 1973), 433–96Google Scholar
61 Les publications sur la violence comme dimension de la politique contemporaine sont très nombreuses, voir les rapports de la « National Advisory Commission on Civil Disorders », (Washington 1968–70); pour une explication théorique voir Bowen, Dan R. and Masoti, Louis H., « Civil Violence A Theoretical Explanation », in Riots and Rebellion (Beverly Hills 1968)Google Scholar; voir aussi les études regroupées par Hirsch, Herbert and Perry, David, Violence as Politics (New-York 1973).Google Scholar
62 Kennedy, Gavin, The Military in the Third World (London 1974)Google Scholar; ainsi que Military Rule in South America, ed. Smitter, Philippe C. (Beverly Hills 1973)Google Scholar
63 Pour une analyse de l'introduction de la notion de « stratégie » dans le développement, voir Goulet, Denis, The Cruel Choice, A New Concept in the Theory of Development (New-York 1971)Google Scholar; aussi Montgomery, John D., Technology and Civil Life, Making and Implementing Development Decisions (Cambridge, Mass. 1974).Google Scholar
64 La notion de « modernisation » représente l'un des points de départ de l'évolution de l'analyse pluri-disciplinaire; voir Huntington, Samuel P., Political Order in Changing Society (New Haven, Conn. 1968)Google Scholar
65 Voir Droz, Yehezkel, Public Policy-making reexamined (Scraton 1968)Google Scholar; aussi Enthoven, Alain C. and Smith, K. Wayne, How much is Enough? Shaping the Defence Program, 1901–1969 (New York 1971).Google Scholar
66 Voir, comme exemples de l'évolution méthodologique de l'analyse des conflits, les études suivantes : Wilkenfeld, Jonathan, Conflict Behaviour and Linkage Politics (New-York 1973)Google Scholar; George, Alexander L. et al., The Limits of Coersive Diplomacy : Laos, Cuba, Vietnam, (Boston 1971)Google Scholar; Haas, Michael, International Conflict (Indianapolis 1974)Google Scholar; Russett, Bruce M., Peace, War and Numbers (Beverly Hills 1972).Google Scholar
67 Pour une introduction à cette « nouvelle » orientation voir Etzioni, Amitai, The Active Society (New-York 1968).Google Scholar
68 Roos, J.P., Welfare Theory and Social Policy, A Study in Policy Science, (Helsinki 1973)Google Scholar
69 Une approche « interdisciplinaire » à la stratégie (dans sa pratique sinon dans ses termes), est présentée par l'Amiral Eccles, Henry E., dans les conclusions à son livre, Military Concepts and Philosophy (New Brunswick, N.J. 1965), 268–89Google Scholar, Egalement, l'analyse présentée par le Général Baufre dans son livre est « multicausale », et ses propositions « méthodologiques » sont du type « interdisciplinaire », Stratégie de l'Action (Paris 1966).
70 Booth, Kenneth, « Teaching Strategy, An Introductory Questionnaire », Survival XXV, 2 (1974), 79–85CrossRefGoogle Scholar