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Published online by Cambridge University Press: 13 April 2010
1 La catharsis tragique d' Aristote contient deux textes qui ne sont pas écrits en français: un article en anglais et un article en allemand qui avaient déjá été publiés par ailleurs.
2 Dans La catharsis (notes de 1'introduction, 149), Ničev dresse une (longue) liste des comptes rendus de L'enigme. Les recenseurs québécois (Philippousis, Jean, dans Dialogue 13/4 [1974], 810–813;CrossRefGoogle ScholarJoyal, Achille, dans Echos du monde classique 19/2 [1975], 60–65; etGoogle ScholarLeroux, Georges, dans les Etudesphilosophiques 30/2 [1975], 219–221)Google Scholar s'etaient declares, dans l'ensemble, modérément favorables.
3 II serait curieux de voir ce que Ničev tirerait de la condamnation du théátre par Saint Augustin.
4 Niĉev consacre une partie de son propre chapitre sur la « faute tragique » á critiquer le livre Bremer, de J. M., Harmatia: Tragic Error in the Poetics of Aristotle and in Greek Tragedy (Amsterdam: Hakkert, 1969)Google Scholar.
5 Que Niĉev s'obstine, curieusement, á nommer « Someville », partout oú il le mentionne.
6 Contrairement á ce qui se passe dans le cas du genre policier, avec lequel Niĉev a tente de montrer (de façon infructueuse a mon avis) que la « tragedie la meilleure » pouvait avoir quelques affinites (cf. La catharsis, 138–146, « Aristotle's Para Ten Doxan and the Modern Detective Story ».
7 Mes italiques. Voici le texte original: « [Niĉev has] disregarded the possibility, of which we should have become increasingly aware, that many of the problems of the Poetics are, strictly speaking, insoluble: it is the quest that matters, the enigmas remain. »