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Réponse thérapeutique, tolérance et sécurité d’emploi du palmitate de palipéridone à dose flexible : une étude prospective chez des patients adultes non-aigus atteints de schizophrénie, après échec d’un traitement par antipsychotiques oraux

Published online by Cambridge University Press:  16 April 2020

P. Vidailhet
Affiliation:
CHU de Strasbourg, Strasbourg, France
A. Schreiner
Affiliation:
EMEA Medical Affairs, Janssen Cilag, Neuss, Allemagne
P. Bergmans
Affiliation:
Biostatistics & programming, Janssen Cilag Benelux, Tilburg, Pays-Bas
P. Cherubin
Affiliation:
EMEA medical affairs, Janssen Cilag, Issy-lès-Moulineaux, France
E. Rancans
Affiliation:
Department of Psychiatry et Narcology, Riga Stradins University, RIGA, Lettonie
Y. Bez
Affiliation:
Dicle University Medical Faculty, Diyarbakir, Turquie
E. Parellada
Affiliation:
Hospital Clínic de Barcelona, Barcelone, Espagne
B. Carpiniello
Affiliation:
Clinica Psichiatrica Università di Cagliari, Cagliari, Italie
L. Hargater
Affiliation:
EMEA Medical Affairs, Janssen Cilag, Neuss, Allemagne

Abstract

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Objectifs

Évaluer la tolérance, la sécurité d’emploi et la réponse à un traitement mensuel par palmitate de paliperidone (PP) à doses flexibles chez des patients adultes atteints de schizophrénie, non-aigus mais symptomatiques, après échec d’un traitement par antipsychotiques oraux.

Méthodes

Analyse d’un groupe de patients atteints de schizophrénie, non-aigus mais symptomatiques, inclus dans une étude internationale, ouverte, prospective de six mois, évaluant la symptomatologie clinique : PANSS (Positive and Negative Syndrome Scale) et CGIS-S (Clinical Global Impression-Severity Scale), les événements indésirables (EIs) et le changement de poids.

Résultats

Cinq cent quatre-vingt-treize patients (population en intention de traiter) : 63,1 % d’hommes, âge moyen 38,4 ± 11,8 ans, 78,6 % souffrant de schizophrénie paranoïde. La principale raison de la substitution d’un antipsychotique oral par le PP était un manque d’efficacité (24,3 %). 74,5 % des patients ont terminé l’étude de six mois. Les raisons les plus fréquentes d’arrêt précoce étaient : le choix du patient (9,3 %), des effets indésirables (EIs) (6,1 %), les perdus de vue (3,0 %) et le manque d’efficacité (2,5 %). Le score total moyen à l’échelle PANSS a diminué de 71,5 ± 14,6 à l’inclusion à 59,7 ± 18,1 à la fin de l’étude (soit une différence de −11,7 ± 15,9 points ; 95 % IC 95 % [−13,0 ; −10,5] ; p <0,0001). 64,0 % des patients ont eu une amélioration supérieure ou égale à 20 % du score total à la PANSS et le pourcentage de patients légèrement malades ou moins (CGI-S) est passé de 31,8 à 63,2 %. Les EIs touchant plus de 5 % des patients sont : douleur au site d’injection (12,3 %), insomnie (8,6 %), anxiété (6,7 %), trouble psychotique (6,1 %) et céphalées (5,6 %). Le changement moyen de poids a été de 1,2 ± 5,0 kg (IC 95 % [0,7 ; 1,6]).

Conclusions

Ces résultats confirment la bonne tolérance et l’efficacité thérapeutique du PP à doses flexibles chez des patients non aigus atteints de schizophrénie, après échec d’un traitement par antipsychotiques oraux.

Type
Posters
Copyright
Copyright © European Psychiatric Association 2013

References

Pour en savoir plus

Traduction du résumé présenté au congrès international “The Royal College of Psychiatrists”, 2–5 juillet 2013, Edinburg, UK.Google Scholar
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