No CrossRef data available.
Article contents
Capture de Glossina palpalis palpalis (Rob. Desv.), 1830 faite au piege biconique et sur captureur dans differents biotopes de la region de Daloa (Cote d'Ivoire)*
Published online by Cambridge University Press: 19 September 2011
Abstract
Fly catching experiments using the biconical trap and a vector collector (under mosquito net) were performed in different biotopes of the forest zone in Côte d'Ivoire (Daloa region).
Of the three species of tsetse usually caught, Glossina palpalis, and to a very minor degree Glossina pallicera, was attracted to man. G. palpalis showed vis-a-vis man a clear difference in attractiveness according to the point of capture. In those habitats where hosts were rare and dispersed (gallery forest, coffee and cocoa plantations) this species frequently attacked man who came into contact with it during the accomplishment of his usual activities, whereas in the village it voluntarily abandoned him in preference for pigs. Whatever the type of biotope, the trap had the same attractiveness. Its use, in contrast to captures on man, enabled a simultaneous study of diverse species that co-existed anthropophilically or zoophilically.
Although almost all the tsetse taken in the trap or on vector collector were hungry, it was noticed that the number of females in the trap samples was always higher than that of males.
Résumé
Des expériences de captures faites au piège biconique et avec un captureur sous moustiquaire ont été réalisées dans divers biotopes de la zone forestière de la région de Daloa en Côte d'Ivoire.
Parmi les trois espèces de tsé-tsé couramment récoltées, Glossina palpalis et, à un moindre degré, Glossina pallicera, viennent à l'homme. L'homme exerce sur G. palpalis une attractivité variable selon le lieu de capture. Dans les habitats à hôtes rares et dispersés (galeries forestières, plantations de café et cacao) cette espèce attaque fréquemment l'homme qui vient à son contact au cours ses activités habituelles tandis qu'elle le délaisse volontiers au profit du porc dans les villages. Quel que soit le biotope, le piège présente la même attractivité. Son emploi, à l'inverse de la capture sur homme, permet l'étude simultanée de diverses espèces coexistantes qu'elles soient anthropophiles ou zoophiles.
La quasi-totalité des tsé-tsé prise au piège ou sur captureur sont des individus affamés, tandis que la proportion de femelles dans les échantillons pris au piège est toujours plus élévée que celle des échantillons pris par les captureurs.
Keywords
- Type
- Research Articles
- Information
- Copyright
- Copyright © ICIPE 1987