No CrossRef data available.
Published online by Cambridge University Press: 19 September 2011
The relative activity of three concentrations of Spodoptera littoralis nuclear polyhedrosis virus (SLNPV) against Ceratitis capitata were determined by (a) submerging two egg age groups, freshly laid eggs (0–2.5 hr) and more older ones (0–24 hr) in viral concentrations, and (b) feeding newly hatched larvae on viral contaminated media. Pupations that resulted from all viral treatments were decreased with increase of virus dose. Hatchability showed the same relation, but hatchability of treated old eggs were not significantly influenced by increases in viral concentration. Adult emergence was significantly reduced due to viral treatments to eggs, however, it was increased in the case of feeding the larvae on contaminated diet. The most hypothetical probability of this deleterious effect may be attributed to an activation of an indigenous virus already present in C. capitata. More research is required to understand the basis for the deleterious effect of SLNPV on the fruit fly.
L'activité relative de trois concentrations de la polyédrose nucléaire de Spodoptera littoralis (SLNPV) contre in mouche de fruits Ceratitis capitata a été déterminé. Les essais ont été éffectués par la contamination des coplaques successivement pondues (0, 2.5 et 24 heures), et l'alimentation des larves néonates sur milieu contaminé par la suspension virale. La pupaison, pour tous les traitements viraux, diminue avec l'augmentation des doses virales. Le taux d'éclosion des oeufs montre la même relation mais si le traitement est effectué sur des vieux oeufs il n'y a pas d'influence significative selon les augmentations des doses virales. La sortie des adultes est réduite d'une façon significative par le traitement des oeufs, mais surtout dans le cas où les larves sont nourries sur du milieu contaminé. Il est suggéré comme hypothèse que l'effet délétère est attribué a une activation d'un virus déja prèsent dans Ceratitis capitata. D'autres recherches sont nécessaires pour comprendre l'effet délétère de SLNPV sur la mouche des fruits.