No CrossRef data available.
Published online by Cambridge University Press: 19 September 2011
The electrophoretic variation of four enzymes of wild Anopheles pharoensis in Mwea Irrigation Scheme, Kenya, was studied between 1987 and 1988. The enzyme loci examined were aldehyde oxidase, a-glycerophosphate dehydrogenase, β-hydroxyacid dehydrogenase and lactate dehydrogenase. All the loci examined were dimorphic. A mean heterozygosity (H) of 0.341 was obtained, which is comparable to values for other mosquito species. The allelic frequencies were in genetic disequilibrium compared to Hardy-Weinberg predictions. It is proposed that there may be more than one species in the taxon Anopheles pharoensis.
Une étude de variation electrophorétique de 4 enzymes chez des populations sauvages de Anopheles pharoensis a été menée dans le projet d'irrigation de Mwea, Kenya, entre 1987 et 1988. Les loci d'enzymes éxaminés ont ete aldéhyde oxidase, α-glycerophosphate dehydrogenase, β-hydroxyacid dehydrogenase et lactate dehydrogenase. Cette étude démontre un bas niveau de variation des allèles et tous les loci sont dimorphiques. La moyenne calculée pour l'hétérozygosité est de 0,341 et cette valeur est comparable aux valeurs d'autres espèces de moustique. Les fréquences des alíeles dans les populations étudiées sont en déséquilibre génétique selon les prévisions de Hardy-Weinberg. Ces résultats confirment la proposition d'autres chercheurs disant qu'il y a peut-etre plus d'une espèce dans le taxon de Anopheles pharoensis.