No CrossRef data available.
Published online by Cambridge University Press: 19 April 2010
page 696 note 1 Notamment dans les Conventions de Genève de 1949, à propos de la protection des hôpitaux et dans la Convention de La Haye de 1954 à propos de la protection des biens culturels.
page 698 note 1 Si l'objectif n'a pas été préalablement identifé, l'utilité de l'attaque peut être, militairement, très contestable.
page 702 note 1 Un exemple particulièrement significatif est celui des attaques contre les centres ferroviaires français ayant précédé le débarquement allié en 1944, attaques que le Commandement pouvait raisonnablement juger efficaces. Selon une des conclusions des Commissions américaines chargées d'enquêter sur les résultats des bombardements «… les attaques antérieures au jour H contre les centres ferroviaires français n'étaient pas nécessaires et les 70.000 tonnes de bombes impliquées auraient pu être employées sur d'autres objectifs ». (The Army Air Force in World War II, vol. III, pp. 160–161.)
page 703 note 1 D'ailleurs, au cours de la dernière guerre mondiale ou du conflit de Corée, un avertissement a parfois précédé des attaques aériennes — avertissement le plus souvent destiné, il est vrai, à la population civile d'un territoire occupé.
page 708 note 1 Voir à ce sujet Royal Air Force 1939–1945, par D. Richard et H. St. G. Saunders, London 1953: Vol. I, pp. 230–231; Vol. II, p. 118; Vol. III, pp. 383–384. Voir dans l'ouvrage cité The (USA) Army Air Forces in World War II, surtout les pp. 591, 597 et 603 du Vol. I; pp. 58 et 638 du Vol. III.
page 709 note 1 On trouvera des exemples frappants de la précision qu'un équipage entraîné était parvenu à atteindre au cours de certaines attaques, dans l'ouvrage de P. Brickhill: « Les briseurs de barrages », Paris 1954 (traduit de l'anglais).
page 710 note 1 Spaight, Air Power and War Rights, 3e édition, p. 268.