Déclaration de liens d’intérêts
Les auteurs déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts.
Published online by Cambridge University Press: 15 April 2020
Le travail de nuit, dit aussi travail posté, n’est pas dénué de conséquences fâcheuses tant sur le plan physique que sur le plan psychique, que ce soit à court terme ou à long terme. Cependant, l’importance du retentissement sur la qualité de vie de l’individu varie selon le rythme et la périodicité du travail de nuit, ainsi qu’il est conditionné par la présence de certains facteurs psychosociaux. Le travail de nuit est par ailleurs communément admis comme pourvoyeur de stress, de fatigue chronique et serait aussi responsable d’un risque accru de pathologie psychiatrique, et surtout anxiodépressive. Ceci est principalement dû à la privation de sommeil.
Comparer la qualité de vie des travailleurs de nuit par rapport aux personnes qui travaillent le jour et mettre en exergue les risques que présente le travail posté pour la santé mentale et physique.
Étude comparative descriptive et analytique transversale.
Population étudiée : médecins, urgentistes, personnel paramédical, sapeurs pompiers, protection civile, marins, agents de police.
Instruments utilisés :
– fiche d’exploitation précisant les données sociodémographiques ;
– hétéroquestionnaire ;
– échelle de somnolence d’Epworth ;
– échelle de Hamilton ;
– échelle de dépression de Beck ;
– questionnaire d’évaluation de la qualité de vie SF-36 ;
– test d’inventaire du burn-out de Maslach.
En cours.
Les auteurs déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts.
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