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Prix des grains, des vins et des légumes à Toulouse (1486-1868)

Published online by Cambridge University Press:  25 May 2018

Abstract

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Type
Enquête en Cours
Copyright
Copyright © Les Éditions de l’EHESS 1971

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References

page 520 note 1. R. Baehrel, Une Croissance : La Basse Provence rurale, Paris, 1961, in-8°, publie plusieurs séries de prix de grain. La plus complète est celle d'Aix 1570-1790, une seule année défaillante pour le blé : 1586; les séries d'Arles (1570-1789) et de Draguignan (1616- 1790) comportent quelques lacunes.

page 520 note 2. Georges et Geneviève Freche, Les prix des grains, des vins et des légumes à Toulouse (1486-1868). Extraits des Mercuriales suivis d'une bibliographie d'histoire des prix, Paris, 1967, 173 p. in-8°. (Travaux et recherches de la faculté de droit et des sciences économiques de Paris, série « Sciences historiques », n° 10.)

page 521 note 1. Un modèle des registres du XIXe siècle (appendice 24) forme une sixième rubrique.

page 521 note 2. Les auteurs ont pris le parti de calculer leurs moyennes annuelles par année civile « pour faciliter les comparaisons ». Pour les prix des grains ce n'est pastrès grave puisque, comme les auteurs le font remarquer, l'utilisateur dispose de relevés mensuels. C'est dommage pour les prix de vin, et, à un moindre degré, pour ceux des légumes secs.

page 521 note 1. Pour respecter le style d'avril et le style de l'Annonciation utilisés dans la mercuriale de 1486 à 1504 et de 1504 à 1564.

page 521 note 2. Les prix sont publiés en doubles (monnaie de compte de 10 d.t.) de 1486 à mai 1561, en s.t. de juin 1561 à mars 1563 et en l.t. d'avril 1563 à Fructidor an VIII, en francs et en centimes depuis Vendémiaire an IX; les moyennes annuelles ont été calculées en l.t. depuis 1486, mais les auteurs se sont cru également obligés de les donner également en doubles de 1480 à 1560 (appendice 3). lis sont donnés au setier jusque l'an IX, à l'hectolitre à partir de l'an X. Je crois que les graphiques les réunissent artificiellement en une même courbe ce qui risque d'en fausser la lecture (1 setier » 93,2 1).

page 522 note 1. Les prix de Ph. Wolff sont publiés au carton (de 4 setiers) en livres, sous et deniers.

page 522 note 2. A cause de la diversité des qualités cotées. G. Freche a sans doute voulu s'aligner sur G. Geraud-Parracha. En fait les prix ne sont pas exactement comparables. G. Geraud Parracha calcule la moyenne des prix de janvier, juillet, octobre et novembre (alors que Ph. Wolff attribue une importance particulière au mois d'avril), et G. Freche calcule une moyenne de tous les mois. Plutot que de comparer les moyennes des prix du blé à tous les marchés à celles des 12 prix du « premier marché », de chaque mois, de 1821 à 1836 (appendice 9), qui avaient d'autant plus de chances de se ressembler que la période choisie est assez calme, on aurait peut-etre pu comparer pour une dizaine d'années les deux modes de calcul du prix du vin.

page 522 note 3. LL manque l'indication de l'unité de mesure des prix du vin communiqués par Ph. Wolff (appendice 12). Soulignons aussi que le graphique des prix du blé (pp. 92-93) est à l'échelle semi-logarithmique, tandis que celui des prix du vin (p. 121) est à l'échelle arithmétique, ils ne sont donc pas comparables. Enfin signalons une négligence (quelques mots ont dû sauter à l'impression) fâcheuse, p. 118, note 1, où II est dit au sujet des prix de G. Geraud-Parracha que les prix sont « exprimés en écus de 1525 à 1569 et convertis en livres au taux de 3 livres pour un écu ».

page 522 note 4. G. Freche, op. cit., p. 9.

page 522 note 1. Indication extraite de la correspondance d'Etienne Ferrières, épicier toulousain. Lettre du 27 décembre 1559, dans Caster, G., Le commerça du pastel et de l'épicerie à Toulouse : 1450-1561, Toulouse, 1962 Google Scholar.

page 522 note 2. Delamare, Traité de la Police, édition de 1705- 1738, t. ll, pp. 989 à 1001 ; 1071 à 1083.

page 522 note 3. Freche, op. cit., pp. 7 et 8, 98 à 110.

page 523 note 1. En outre la classement méthodique des titres adopté par les auteurs peut être difficile à appliquer en toute rigueur, mais on comprend mal pourquoi les thèses de R. Baehrel, Une Croissance : la Basse Provence rurale; de P. Goubert, Beauvais et le Beauvaisis et d'e. Le Roy Ladurie déjà citée se trouvent au paragraphe l, « Ouvrages généraux », alors que celles de G. Fourquin, Les Campagnes de la région parisienne è la fin du Moyen Age: d'A. Poitrineau, La Vie rurale en Basse Auvergne au XVIIIe siècle et de P. DE Saint-jacob,Les Paysans de la Bourgogne du nord au dernier siècle de l'Ancien Régime sont classées en paragraphe 4. « Histoire des prix en France. » (Freche, op. cit., pp. 144-145 et 149-150.)

page 523 note 2. Par exemple G. Boyer, Un texte inédit duXIIe siècle sur l'atelier monétaire de Toulouse ; M. Castaingsicard,Monnaies féodales et circulation monétaire en Languedoc (Xe-XIIIe siècles): C. Richebé, Les Monnaies féodales d'Artois du Xe au début du XIVe siècle (ibid., pp. 158-159).

page 523 note 3. Ibid., pp. 158 et 161 à 164.

page 523 note 4. Ibid., p. 25.