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Published online by Cambridge University Press: 17 August 2016
Ce qui caractérise, en ces dernières années, l'activité économique de la colonie, c'est d'abord le développement de l'exploitation et de la prospection des mines; c'est ensuite une politique de soutien de la production agricole et une orientation décidée vers le paysannat indigène; ce sont enfin les efforts combinés pour une économie meilleure des transports.
(1) Cf. Heyse et Leonard : Régime des cessions et concessions de terres et de mines au Congobeige. – 2e édition, pages 329, 330. Bruxelles, 1932.
(2) Compte-rendu analytique des seances du Conseil colonial. – 1934, pages 56, 88, 112.
(1) Supprimé depuis le 1-IV-33.
(1) Cf. Etude comparative des législations cotonnières en Afrique équatoriale. – Publication du Comité cotonnier congolais, par Emile van Geem, docteur en droit. – Bruxelles, Puvrez, 1934.
(2) Bulletin de I'Ofjtce colonial, octobre 1934, pages 418 à 423.
(1) Presque tous résident dans la province de Stanleyville (7.307) et dans la province de Lu-sambo (1.000).
(1) Cf. sur le paysannat indigène : O. Louwers : Notre politique coloniale. – Bruxelles, Lesigne, 1934. – LEPLAE : « Les avantages et les modalites d'introduction du paysannat integral au Congo beige. » – Revue Congo, avril 1934, pages 504 a 527.
(2) La politique coloniale. – Editions Rex, septembre 1934, pages 112 à 115.
(i) Les indigenes du Congo beige et la crise mondiale.