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Published online by Cambridge University Press: 17 August 2016
En 1946, la restauration progressive des réseaux, et des disponibilités en matériel et en combustibles ou carburants ont continué à refaire la capacité de production de l’industrie des transports. Le marché lui-même a été dominé par le niveau d’activité et la rareté qui caractérisent la haute prospérité. Le volume des transports est en progrès sensible par rapport à 1945. Le trafic des voyageurs a dépassé la normale. Le trafic des marchandises qui ne l’a pas atteinte, s’est partagé, à part diverses substitutions, suivant le mode habituel en période de prospérité.
(1) Pour les sources, voir Bulletin de l’Institut de Recherches Economiques et Sociales, tome XII, fascicule 3 (avril 1946), p. 407.
(2) Les données relatives à la Compagnie du Nord belge, sont inclues dans les bases.
(1) A côté de la réduction relative dans la demande de transport, on peut citer, par exemple, la réduction relative dans la demande de travail et de charbon.