Introduction. Plant water stressindicators have become valuable for moving towards deficit irrigationstrategies and saving water. In this case evapotranspiration (ET)is below its maximum value for the crop and stage (ETc),and a stress coefficient (Ks) is applied to obtainactual ET (ETa). Predawn leaf waterpotential (Yp) can be related to relative transpiration(RT), the ratio between transpiration of a stressedplot (T) and transpiration of a well-irrigatedplot (Tm). Estimating RT fromYp allows calculating ETa fordetermination of irrigation amounts, if deficit irrigation practicesare used, as RT corresponds approximately to Ks. Materials and methods. RT and Yp were measuredwith the aim of establishing a relationship to estimate RT undermoderate water stress for irrigation scheduling, in a peach orchardin south Portugal. RT was calculated using sap flowmeasurements (heat balance method) in two plots, one well-irrigated(daily drip irrigation amounts calculated for Tm) andanother temporarily without irrigation. Results and discussion. Ahigh correlation was found between RT and Yp,allowing the estimation of RT for the studied conditions.Significant differences regarding the relationship RT-Yp obtained for another peach orchard in the sameregion and similar soil conditions were found for Yp inthe range between –0.11 and –0.45 MPa. The results suggest that thedifferences resulted from the different irrigation systems: dripand micro-sprinkling, as they determine different temporal and spatialwater distribution and therefore different geometry of root systems.A formerly proposed equation to estimate RT fromYp with a general form for different fruit treespecies was tested, proving to be adequate within some limits: when RT is lowered to 0.7, the error was below 9%. Thethreshold value RT = 0.7 was considered a minimumas it was successfully tested in deficit irrigation practices for peachorchards.

The need to provide policy-makers with succinct, yet informative, messages is widespread in biodiversity management, and has led to the development of various “indicators” that can serve this purpose. While global data on the status of animal genetic resources for food and agriculture (AnGR) have been made available in a number of publications, the issue of developing a global indicator for AnGR has come to prominence only relatively recently. This paper describes the policy background to these developments and reviews initiatives in AnGR indicator development at national and regional levels. It also outlines some of the issues raised at an expert meeting on indicators organized by Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO) in January 2010. To date, AnGR indicator development has largely been restricted to Europe. Globally, options are restricted by the limited availability of data. The expert meeting favoured an indicator set that describes both the relative abundance of native versus non-native breeds and summarizes breed risk status. The former will require a new breed classification system that is acceptable to countries and applicable globally. The risk-status categories of approximately 64 percent of reported breeds are available in the Domestic Animal Diversity Information System, but a lack of regular updates of countries' breed population data means that trends cannot be described adequately at present.

Une campagne de prélèvements réalisée en 1999, de façon comparable à celle effectuée en 1994, montre que la compositiondes communautés d'oligochètes et de Chironomidés a changé dans cet intervalle de temps en réponse à la baisse des concentrationsen phosphore dans l'eau du Petit Lac, le bassin ouest du Léman (Suisse et France). Les larves de Chironomidés étaient présentesdans 66 % des 159 sites visités en 1999 contre 40 % en 1994 tandis que l'abondance des oligochètes a diminué. De plus,l'abondance relative des taxons indicateurs de conditions oligotrophes (Micropsectra et Spirosperma velutinus) a augmenté en1999. Ces changements indiquent qu'en 1999 la restauration biologique des sédiments profonds se trouve à mi-chemin entrel'état méso-eutrophe des environs de 1980 et l'état oligotrophe d'avant 1950. Cependant, l'ampleur de la restauration n'est pas lamême dans les trois bassins du Petit Lac: elle varie en fonction de l'intensité de la sédimentation organique.

Les micropolluants métalliques Cd, Cu, Pb et Zn ont été analysés dans plusieurs compartiments inertes et biologiques de l'écosystème de la retenue du Mirgenbach : l'eau, les matières en suspension, le seston décanté, une mousse, un mollusque et trois organes de deux espèces dominantes de poissons. Ce lac artificiel reçoit les eaux échauffées de la centrale nucléaire de Cattenom (Nord-est de la France). L'étang de Lindre et la Meuse amont ont été choisis comme sites de référence. L'ensemble des supports analytiques montre que la retenue est fortement contaminée par le cuivre et à un degré moindre par le plomb et le zinc. Des teneurs importantes de cadmium ont seulement été détectées dans le seston décanté. Les métaux entrant dans la retenue se partagent entre deux phases : la colonne d'eau et les sédiments. Les concentrations élevées observées dans le seston décanté indiquent qu'une fraction importante de chaque métal disparaît de la phase circulante et stagne dans la retenue. Dans le cas du cuivre, une estimation des flux révèle que les deux tiers de ce métal se retrouvent dans les matières décantées. L'homogénéité dans la détection des différents micropolluants dans la moule Dreissena polymorpha Pallas et la mousse Fontinalis antipyretica Hedw. confirme l'intérêt de ces deux organismes comme indicateurs biologiques de la pollution circulante. Les deux poissons, le gardon Rutilus rutilus L. et la perche Perca fluviatilis L., se distinguent par de faibles concentrations métalliques dans le muscle. Bien que certains métaux aient été accumulés dans les organes cibles comme le foie pour le cuivre et le rein pour le plomb, ils peuvent difficilement être considérés comme des organismes sentinelles.