L’afflux des résultats, évidemment lié aux techniques spatiales, améne à définir ici de façon plus stricte le champ de la Commission, en continuant d’ailleurs dans la tendance du rapport précédent: le terme “Lumière du Ciel Nocturne” ne s’applique plus qu’aux émissions et diffusions, de l’UV à I’IR, qui recouvrent la sphère cèleste entière. De plus, parmi les composantes telluriques, ne sont prises en consideration que celles dont l’obtention correcte de composantes astronomiques exige la connaissance. Les interpretations sont maintenues, surtout quant aux propriètès optiques des poussieres interplanètaires et interstellaires, mais il n’est plus possible d’inclure, entre autres, les observations non-optiques des grains interplanétaires, leur étude dynamique, ou le rayonnement IR du centre galactique.