Published online by Cambridge University Press: 21 August 2012
This paper forms part of a short general account of the Luo based on a rapid survey made in 1936. The survey was financed by the Leverhulme Grants Committee. An earlier part, describing the political structure of the Luo, has recently appeared in another journal.
Apart from information provided by Father Hartmann and a fuller account by Mr. K. C. Shaw, early accounts of Luo marriage are slight, and in some cases misleading. Mr. Shaw's account covers a good part of the ground covered by the present paper, but it is useful to have two independent accounts, especially as both were written from information obtained through interpreters. When I went to Kenya I did not expect to visit the Luo and I had not therefore read Mr. Shaw's article. Mr. Shaw and I disagree in a number of particulars in the overlapping parts of our papers. It does not follow from this that either of us is wrong in our statements because, as Mr. Shaw points out, there is some variation in local custom in the different tribes of Luoland. My own information on this particular subject was mostly obtained from the Alego tribe of Central Kavirondo. In the main I have followed the account given me by Pastor Ezekiel of that tribe. In doing so I have omitted much detail.
LES COUTUMES DE MARIAGE PARMI LES LUO DE KENYA
La forme coutumière du mariage parmi les Luo comprend plusieurs étapes. Un jeune homme, ayant choisi sa future épouse et obtenu son consentement, engage des pourparlers avec ses parents. S'il est accepté comme prétendant, une partie de ses amis enlèvent la jeune fille et l'emmènent chez le futur époux où, dans la hutte des célibataires chez lui, elle est déflorée en présence de sa sœur et d'autres jeunes filles de son propre village qui l'ont suivie à cet endroit. Après une semaine environ, la famille de la mariée fournit un festin, qui est consommé chez la mère du futur époux. Quelques jours plus tard, la mariée rentre chez ses parents, accompagnée par des jeunes filles de son village et des membres de la famille du futur époux. A ce moment, l'epoux doit commencer la remise du bétail de mariage et, jusqu'à ce que le paiement soit complet, la mariée le quitte de temps en temps et retourne dans son propre foyer, d'où le futur l'enlève avec un semblant de violence. Lorsque tout le bétail a été remis, l'époux peut garder la mariée, mais il ne construit une hutte séparée pour elle qu'après la naissance d'un enfant. Jusque-là, le couple habite la hutte des célibataires.
page 132 note 1 Evans-Pritchard, E. E., ‘Luo Tribes and Clans’, Rhodes-Livingstone Journal, 1949.Google Scholar
page 132 note 2 Hartmann, H., ‘Some Customs of the Luwo (or Nilotic Kavirondo) living in South Kavirondo’, Anthropos, 1928.Google Scholar
page 132 note 3 Shaw, K. C., ‘Some Preliminary Notes on Luo Marriage Customs’, J.E.A. & U.N.H.S., 1932.Google Scholar