Published online by Cambridge University Press: 07 December 2011
De récentes trouvailles en archéologie et en biologie en population humaine indiquent deux périodes démographiques dans la colonisation de la forêt du sud du Ghana: la période préhistorique et le début de la periode historique. La premiere pèriode commença au début de l'ère commune. Le problème materiel le plus important qui a confronté les premières populations de la forêt en Afrique de l'oust a été le besoin de contrebalancer des taux de mortalité infantile et de maladie adulte extraordinairement elevés. Cette perte démographique était le résultat de nouvelles maladies écologiques—le rapport entre les pathogènes, notemment la malaria, leurs hoes et leurs environnements mutuels—qui ont confronté les peuples de la forêt aux temps préhistoriques et au début de la période historique. Le fait que ces nouvelles communautés de la forêt aient du payer chèrement de leurs vies et productivité les a conduit à apprécier la reproductivité des femmes étrangères (esclaves). La deuxième pèriode d'ajustement démographique vint entre le quinzième et le dix-septième siècle, lorsque les africains de l'ouest ont répondu à l'esclavage, les guerres et le viral Eurasien, les maladies bactérielles et [spirochètales] comme la tuberculose et la syphillis, en se regroupant dans leurs colonies de façon à dévélopper un système de defense. C'était pendant cette période, lorsque les réfugiés avaient été incorporé dans les communautés des forêts en grand nombre, y compris des femmes esclaves qui avaient été amenees pour reproduire, que la tradition des étrangers falsifiant les généalogies akan s'est répandue, aidant ainsi à assurer la reproduction sociale des lignages akan.