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page 72 note 1. Cf. Annales, t. VI, 1934, p. 378.
page 72 note 2. L'élaboration du monde moderne. Paris, Presses Universitaires de France, 1934 ; pet. in-8°, XXXII-584 P.
page 72 note 3. Voici, en vue d'une seconde édition, et pour répondre au voeu de l'auteur luimême, quelques observations de détail : Parmi les dictionnaires, cités à la bibliographie, il eût fallu mentionner ceux de Lexer : Mittelhochdeutsches Wôrterbuch et surtout, parce que d'un maniement plus commode et d'un prix plus accessible, Mittelhochdeutsches Taschenwôrterbuch. — La migration de la noblesse de Vénétie vers la lagune semble avoir été provoquée par l'invasion lombarde, plutôt que par les raids des Huns (p. 134). — Sur les années et les opérations militaires, l'ouvrage de G. Kohxeb, Die EntviicMung des Kriegsv/esens…, 1886-1890, demeure indispensable. — Pourquoi, à propos de la « découverte l'Union » de Florence : lire 1439 (et non 1239). — Rodolphe de Habsbourg n'était pas, de l'Afrique, omettre le rôle du commerce génois et des Dieppois ? — P. 193, en 1273, « un petit seigneur obscur » ; il avait derrière lui une oeuvre, relativement considérable, de rassemblement territorial. — Dans la description des institutions florentines, le mot de « parti guelfe » n'est, sauf erreur, point prononcé. Comment comprendre l'Italie, de ce temps — et d'aujourd'hui — sans cette curieuse notion de parti ? — Il y aurait lieu, je crois, de revoir l'exposé de l'histoire Scandinave, avant le xir2 siècle. — Sur les origines de la puissance mongole, la note de Mr Grenard, parue ici (t. III, 1931, p. 563), eût mérité d'être citée, pour sa valeur explicative. De même, sans doute, la contribution du même auteur à la Géographie Universelle, — p . 305, « la ville du moyen âge réalise assez fréquemment le type de la cité-jardin » ; rien de plus dangereux, à mon sens, que de pareils anachronismes. Celui-ci est, d'ailleurs, nettement démenti par la description qui précède. — Dans le chapitre sur l'Italie, il eût été bon d'indiquer, à « l'état actuel des questions », qije l'absence de toute histoire sérieuse de l'État milanais, sous les Visconti et les Sforza, constitue une des plus graves lacunes de notre littérature ; tant que nous n'aurons pas ce livre, nous ne connaîtrons qu'imparfaitement les origines de l'État moderne.