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2. « La Réunion des Amis Choisis » et ses Soeurs de VOrient-dans la Vie Hermétique de Marseille, Paris, Éditions du Cent-Cinquantenaire, 1953 ;in-8°, 436 pages, 45 planches et illustrations (surtout des sceaux).
3. A. Chobaud et surtout R. Vehrier. Pour ces références, voir Leuilliot, P. ; La Franc- Maçonnerie, fait social, dans Annales, 1953, n° 2, p. 242.Google Scholar
1. En 1801, il ne s'agit pas de la paix d'Amiens, mais de celle de Lunéville (p. 112). P. 182, lire de Permon (et non de Pernou), le Commissaire de police de Marseille, qu'on retrouve Sous la Restauration lieutenant de Police à Strasbourg (c'est, en effet, le beau-frère de Junot) ; le nom est correctement orthographié d'ailleurs au tableau de 1812 (p. 265). — Sur la Communede Marseille, voir l'ouvrage récent d'A. Olivesi (1950). Cf. Annales, 1952, p. 122.