Published online by Cambridge University Press: 26 July 2017
1. Rappelons la définition — définition qu'accepte L. Goldmann — que Jean Piaget (Etudes d'Epistémologie génétique, t. II, p. 34) donne de la notion de structure : « Nous disons… qu'il y a structure (sous son aspect le plus général) quand les éléments sont réunis en une totalité présentant certaines propriétés en tant que totalité et quand les propriétés des éléments dépendent, entièrement ou partiellement de ces caractères de la totalité. »(N.D.L.R.).
2. Lucien Goldmann, Recherches dialectiques, p. 108 : « La cohérence structurale n'est pas une réalité statique mais une virtualité dynamique à l'intérieur des groupes, une structure significative vers laquelle tendent la pensée, l'affectivité et le comportement des individus, structure que la majorité d'entre eux ne réalise qu'exceptionnellement dans certaines situations privilégiées, mais que des individus particuliers peuvent atteindre dans des domaines limités lorsqu'ils coïncident avec les tendances du groupe et les poussent vers leur dernière cohérence. (C'est le cas de certains chefs politiques ou religieux, des grands écrivains, des grands artistes ou des grands penseurs philosophiques).
1. Notre recherche sur ce sujet était déjà en cours, lorsque H. Lefebvre a publié des vues analogues.
2. Nous renonçons provisoirement à toute désignation par les termes : gauche centre et droite, pour éviter l'intervention trop marquée d'éléments affectifs dans la discussion.