Nous avons à différentes occasions mentionné des travaux intéressants dans ce domaine, décrivant des appareils destinés à suppléer à l'insuffisance du matériel règlementaire.
Pour ce qui regarde le transport à bras, chacun a fait l'expérience que, sur le brancard ordinaire, le blessé, en montagne, glisse inévitablement sur la toile trop rigide et tendue; de même le porteur d'arrière ne voit pas où il marche, ce qui l'oblige à une allure très lente et hésitante; les bretelles aussi tiennent mal à cause de la déclivité du terrain. Et puis il faut, pour porter le brancard, au moins deux hommes, ce qui revient à dire que, si le transport est un peu long, on doit disposer d'une équipe de quatre brancardiers.