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HOST EFFECTS ON ALLOZYME AND MORPHOLOGICAL VARIATION OF THE MOUNTAIN PINE BEETLE, DENDROCTONUS PONDEROSAE HOPKINS (COLEOPTERA: SCOLYTIDAE)
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
Allozyme and morphological variation were investigated for mountain pine beetle populations in limber pine and lodgepole pine in Alberta and British Columbia. Fourteen gene loci, five of which were polymorphic, were studied. Heterozygote deficiencies were detected at the ME locus for 13 of the 16 groups of beetles sampled. Selection against heterozygotes appears to be the most plausible explanation. There was no significant difference in heterozygosity between beetles from lodgepole pine and those from limber pine. Relatively high levels of genetic differentiation, in terms of allele frequency, were observed among beetles from different sites, host species, seasons, and individual conspecific trees within a site. Low levels of differentiation were observed between beetle generations at a site and between sexes. We attribute significant host-associated genetic differentiation to differential survival in hosts rather than to differential host preference of beetle genotypes. Standardized discriminant function analysis of 12 morphological characters indicated significant differences in beetle shape between sexes, host species, and among sites. Overall, there was little evidence of preferential host selection by beetles which would imply substructuring of Dendroctonus ponderosae Hopkins populations along host lines.
Résumé
La variabilité morphologique et en allozyme a été étudiée par rapport aux populations du dendoctrone du pin ponderosa dans le pin limbique et le pin tordu de l’Alberta et de la Colombie Britannique. Quatorze loci génétiques, dont cinq polymorphiques, ont été examinés. Des déficiences hétérozygotiques ont été constatées au locus ME en ce qui concerne 13 des 16 groupes échantillonnés de dendoctrones. L’anti-sélection pour les hétérozygotes semble l’explication la plus plausible. Aucune différence significative en ce qui concerne l’hétérozygosité entre les dendoctrones du pin tordu et ceux du pin limbique a été signalée. Des niveaux de différences génétiques assez élevés, par rapport à la fréquence d’allèles, ont été constatés parmi les dendoctrones en provenance des sites différentes, des espèces différentes de l’hôte, des saisons différentes, et des arbres conspécifiques d’un site. Des niveaux bas de différences ont été signalés entre les générations et les sexes des dendoctrones d’un site. Nous prétendons que les différences génétiques significatives soient associées à une différence dans la survie reliée à l’hôte, au lieu qu’aux préférences différentes de l’hôte par les génotypes de dendoctrones. L’analyse fonctionnelle discriminante normalisée de 12 caractéristiques morphologiques a indiqué des différences en forme des dendoctrones par rapport au sexe, à l’espèce d’hôte et au site. En générale, peu d’évidence a été vue d’une sélection préférentielle par les dendoctrones, qui suggère la sous-strucluration des populations de D. ponderosae Hopkins suivant les lignées des hôtes.
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- Articles
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- Copyright
- Copyright © Entomological Society of Canada 1991
References
- 27
- Cited by