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Developing action thresholds for codling moth (Lepidoptera: Tortricidae) with pear ester- and codlemone-baited traps in apple orchards treated with sex pheromone mating disruption
Published online by Cambridge University Press: 02 April 2012
Abstract
Traps baited with either ethyl (E,Z)-2,4-decadienoate (pear ester) or (E,E)- 8,10- dodecadien-1-ol (codlemone) (Pherocon® CM-DA™ and Megalure CM™ lures, respectively) were used to develop action thresholds for codling moth (Cydia pomonella (L.)) in apple (Malus domestica Borkh.; Rosaceae) orchards treated with sex pheromones for control of this pest. Studies were conducted in 102 orchards treated with 500–1000 ISOMATE®-C PLUS dispensers per hectare during 2000–2002. Pairs of traps were placed within two 1.0-ha plots within each orchard. Fruit injury was assessed at mid-season and prior to harvest in each plot. The numbers of female and total moths caught in pear ester-baited traps and male moths caught in codlemone-baited traps were used to develop action thresholds. Thresholds were based on the minimum cumulative number of moths per trap in ≥95% of traps in unsprayed plots with no fruit injury. Specific thresholds were established for the first insecticide spray targeting the start of egg hatch and for the first and second moth flights. The proportion of plots with mid-season fruit injury that had cumulative moth catches below the action threshold at first spray and at second moth flight was determined using the established action threshold and thresholds reduced incrementally to ≥1 moth per trap. Moth catches below the threshold at first spray were less common in plots with high levels of fruit injury (>0.3%) than in plots with low levels of fruit injury and more common with codlemone-baited traps than with pear ester-baited traps. An action threshold of ≥1 moth in a pear ester-baited trap at first spray eliminated the error in predicting fruit injury in plots at mid-season. Conversely, a high proportion of traps baited with either lure failed to predict low levels of fruit injury at harvest in unsprayed plots regardless of the cumulative moth threshold used during the second moth flight.
Résumé
Des pièges appâtés à l'éthyl (E,Z)-2,4-décadiénoate (ester de poire; PheroconMD CM-DAMC) ou au (E,E)-8,10-dodécadiènol (codlemone; Megalure CMMC) ont servi à déterminer des seuils d'action pour la carpocapse de la pomme, Cydia pomonella (L.), dans des pommeraies à Malus domestica Borkh. (Rosaceae) traitées aux phéromones sexuelles pour la lutte contre ce ravageur. Les études ont été menées dans 102 vergers traités avec 500–1000 distributeurs ISOMATEMD-C PLUS par hectare en 2000–2002. Nous avons placé des paires de pièges dans deux parcelles de 1,0 ha dans chaque verger. Nous avons évalué le dommage aux fruits à la mi-saison et juste avant la récolte dans chaque parcelle. Les nombres de papillons femelles et de papillons totaux dans les pièges appâtés d'ester de poire et de papillons mâles dans les pièges appâtés de codlemone ont servi à déterminer les seuils d'action. Nous avons choisi les seuils d'après le nombre cumulatif minimum de papillons récoltés par piège dans > 95 % des pièges dans les parcelles non traitées sans dommage aux fruits. Nous avons développé des seuils pour le premier arrosage d'insecticide qui cible le début de l'éclosion des oeufs et pour le premier et le second envol des papillons. Dans les parcelles présentant des dommages aux fruits en mi-saison, nous avons déterminé la proportion de pièges ayant des récoltes cumulatives sous le seuil d'action lors du premier arrosage et lors du second envol à l'aide du seuil d'action établi et à l'aide de seuils réduits de façon graduelle à ≥ 1 papillon par piège. Les récoltes de papillons sous le seuil lors du premier arrosage sont moins communes dans les parcelles présentant un fort pourcentage (> 0,3 %) de dommages au fruits que dans celles qui en présentent peu et plus communes dans les pièges à la codelemone que dans les pièges à l'ester de poire. Un seuil d'action de ≥ 1 papillon dans un piège à l'ester de poire lors du premier arrosage élimine l'erreur dans la prédiction de dommages aux fruits en mi-saison. Inversement, une forte proportion des pièges munis de l'un ou l'autre appât ne réussissent pas à prédire les faibles intensités de dommages aux fruits au moment de la récolte dans les parcelles non traitées, quel que soit le seuil du nombre cumulé de papillons utilisé durant le second envol des papillons.
[Traduit par la Rédaction]
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References
- 44
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