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Suitability of felt traps to monitor oviposition by cabbage maggot (Diptera: Anthomyiidae)1
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
The effectiveness of felt egg traps to detect oviposition by the cabbage maggot, Delia radicum (L.), was studied under field conditions for cabbage, Brassica oleracea L. var. capitata L. (Brassicaceae), and rutabaga, Brassica napus L. var. napobrassica (L.) Reichenb. (Brassicaceae), in 1994 and 1995. The numbers of eggs laid on traps were compared with the numbers deposited in the soil next to the plant. Also, the incidence of oviposition (i.e., the percentage of samples with eggs) on soil and traps was compared. A total of 5160 eggs was collected from 5208 samples, but just 16% of all samples had eggs. For cabbage, early in the 1994 season, the incidence of oviposition in soil samples was double that on traps, and the number of eggs per sample was greater also. Oviposition incidence and the number of eggs per sample during the rest of the summer were similar. In the 1995 cabbage trial, the incidence of oviposition early in the season was again higher in soil samples than on traps, and there were fewer eggs per trap than per soil sample. For rutabaga, the number of eggs was similar using both methods early in the second generation, but from mid-August there were more eggs per trap than per soil sample. The incidence of oviposition in the rutabaga trial was similar on traps and in soil through most of the experiment. In this study, felt traps did not adequately detect the timing of cabbage maggot oviposition in the critical early season.
Résumé
De 1994 à 1995, nous avons étudié en champ l’efficacité d’un piège à oeufs pour détecter le début de la ponte de la mouche du chou, Delia radicum (L.), sur le chou, Brassica oleracea L. var. capitata L. (Brassicaceae) et sur le rutabaga, Brassica napus L. var. napobrassica (L.) Reichenb. (Brassicaceae). Le nombre d’oeufs déposés sur la piège et dans le sol autour de la plante-hôte, ont été comparés. « L’incidence de la ponte », définie comme le pourcentage des échantillons avec des oeufs, sur le piège et dans le sol, ont aussi été comparés. Un total de 5160 oeufs ont été recueillis sur l’ensemble des 5208 échantillons. Seize pourcent des échantillons contenaient des oeufs. Pour le chou, l’incidence de la ponte et le nombre moyen d’oeufs en début de saison 1994 étaient beaucoup plus élevés dans le sol que sur la piège, alors que pour le reste de l’été ils étaient similaires. Dans l’essai du chou de 1995, l’incidence de la ponte en début de saison était beaucoup plus élevée dans le sol que dans les pièges, et le nombre d’oeufs retrouvés sur chaque piège, était moins élevé que dans le sol. Pour le rutabaga, les nombres d’oeufs recueillis en début de saison par nos deux méthodes étaient similaires. Cependant, à la mi-août, on a observé un plus grand nombre d’oeufs sur les pièges que dans les échantillons de sol. Dans cette étude, le piège à oeufs n’a pas permis de détecter le début de la ponte de la mouche du chou à la période critique du début de la saison.
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- Copyright © Entomological Society of Canada 2002
Footnotes
Contribution No. 127 of the Atlantic Cool Climate Crop Research Centre.
References
- 3
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