Published online by Cambridge University Press: 23 October 2012
We explored contextual features shaping end-of-life (EOL) care in residential care facilities by drawing on the perspectives of 11 resident care aides (RCAs) in one Western Canadian urban centre. RCAs characterized EOL care as “providing comfort”, including physical and emotional comfort. Concerns with time and workload challenges dominated accounts and generated guilt, sadness, and frustration. RCAs tried to “find the time” by taking it from themselves or other residents, and by relying on the commitment of co-workers and on families. Findings emphasize the importance of the RCA role (particularly in emotional comfort), yet call for attention to interpretations of what is involved in this work, and to definitions of scopes of practice and training requirements. Findings reiterate the importance, among Canadian RCAs, of appropriate workloads to facilitate quality EOL care, and raise concerns about how time constraints shape EOL care practice and the meanings infusing this practice.
Nous avons examiné les caractéristiques contextuelles qui façonnent les soins de fin de vie (SFV) dans les établissements de soins pour bénéficiaires, en s’appuyant sur les perspectives de 11 aidants résidents (AR) dans un centre urbain canadien de l’Ouest. ARs décrivent les soins de fin de vie comme “offrant un confort,” y compris le bien-être physique et émotionnel. Les inquiétudes au sujet des défis posés par le temps et la charge de travail ont dominé les comptes et ont généré la culpabilité, la tristesse et de la frustration. ARs ont essayé de “trouver le temps” en le prenant d’eux-mêmes ou les autres résidents, et en s’appuyant sur l’engagement des collègues et sur les familles. Les résultats soulignent l’importance du rôle d’AR (en particulier en offrant un confort émotionnel), mais faire appel à l’attention à l’interprétation de ce qui est impliqué dans ce travail, et à la définition du portée de la pratique et de la formation. Les résultats également réitère l’importance, entre aidants résidents canadiens, des charges de travail adéquates pour faciliter les soins de fin de vie de qualité, et soulève des préoccupations au sujet des contraintes et comment elles forment la pratique de soins de fin de vie et les significations qui infusent une telle pratique.
We thank the RCAs who contributed their time, as well as Elizabeth Causton, who assisted with interviewing and review of this manuscript. The guidance of Heather Cook, Holly Tuokko, and André Smith is also acknowledged, as is the advice of John Bond. Shelly Waskiewich was supported by a University of Victoria Interdisciplinary Student Award; Kelli Stajduhar is supported by a New Investigator award from the Canadian Institutes of Health Research and a Scholar Award from the Michael Smith Foundation for Health Research.
Deceased