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Published online by Cambridge University Press: 19 September 2011
Seven selected cultivare of common beans Phaseolus vulgaris L. were evaluated for resistance at two sites under different weather and beanfly population pressures in the field. The indices of resistance were the number of leaf punctures, eggs, larvae and puparia and per cent dead plants. Beanfly species, Ophiomyia spencerella (Greathead) and Ophiomyia phaseoli (Tryon) infested the bean plants in the field. There were seasonal differences in the response of the cultivare to beanfly infestation attributed to differences in the level of attack of the bean crop, being highest in the non-cropping season of 1985 and lowest in the long rains of 1985. Despite the variation in results, Gip 1004 and Gip x-92 showed some resistance on the basis of their least plant mortalities and low larvae/puparia surviving on them. When the beanfly population was high enough to cause death of the bean plants, percentage plant mortality was correlated to the numbers of larvae and puparia of beanflies and it may be the best parameter for resistance.
Sept variétés de haricots ordinaires, le Phaseolus vulgaris L. ont été sélectionnées et étudiées afin d'en évaluer la résistance.
L'étude a été menée dans deux sites différents sous des conditions atmosphériques différentes et sous différentes vagues de population de la mouche du haricot dans le champs. Les indices de résistance étaient le nombre des feuilles rongées, les oeufs, les larves et chrisalides, ainsi que le pourcentage des plantes mortes. Dans le champs les plantes des haricots avaient été infestées par les types de la mouche de haricot Ophiomyia spencerella (Greathead) et Ophiomyia phaseoli (Tryon).
La réaction des plantes à l'infestation des mouches du haricot variait selon les saisons et était fonction de l'intensité de l'invasion subie par les plantes des haricots. La quelle invasion avait atteint son niveau le plus élevé au cours de la saison sans misson en 1985, et son niveau le plus bas durant la longue saison pluvieuse de la même année. Malgré la diversification dans les résultats, les variétés Glp 1004 x-92 ont manifesté une certaine résistance dûe au faible taux de mortalité parmi elles et au fait que les larves/chrisalides survivent difficilement sur ce type de plantes. Lorsqu la population des mouches du haricot était suffisamment dense pour causer des dégâts chez les plantes de haricots, le pourcentage de la mortalité des plantes dépendait du nombre des larves et de chrisalides des mouches. Et cela peut bien servir de meilleur paramètre pour évaluer la résistance des plantes des haricots.