Published online by Cambridge University Press: 19 September 2011
A study was undertaken to test the hypothesis that the quality of host plant parts determines the nutritional quality of herbivorous insects feeding on it to their parasitoids. A Gossypium hirsutum-Helicoverpa armigera-Campoletis chlorideae tritrophic system was evaluated. The superior nutritional quality of bolls and young leaves of Gossypium hirsutum (MCU-5 variety) contributes to more efficient feeding, growth and reproduction of the bollworm, Helicoverpa armigera (Hübner) and better survival of its larval parasitoid, Campoletis chlorideae Uchida. Longer total developmental duration and decrease in adult longevity were observed in H. armigera reared on senescent leaves than in those reared on bolls. Consumption, growth rate and efficiency measures were significantly lower in parasitised H. armigera larvae than in unparasitised larvae. Percentage parasitism was highest (84.1%) in H. armigera fed on bolls. The parasitoid C. chlorideae displayed shorter developmental duration and improved survival on H. armigera fed on bolls.
Une étude a été conduite pour vérifier l'hypothèse selon laquelle la qualité de différentes parties de la plante nourricière déterminent la qualité nutritionnelle des insectes herbivores qui s'en nourrissent ainsi que celle de leurs parasitoïdes. Un complexe trophique Gossypium hirsutum-Helicoverpa armigera-Campoletis chlorideae a été évalué. La qualité nutritionnelle supérieure des capsules et jeunes feuilles de G. hirsutum (var. MCU-5) contribue à une meilleure alimentation, une meilleure croissance et à la reproduction du ver rose, Helicoverpa armigera (Hübner) ainsi qu'à une meilleure survie de son parasitoïde larvaire, Campoletis chlorideae Uchida. La durée totale de développement la plus longue et la réduction de la longévité chez les adultes ont été notés, une fois que H. armigera était élevé sur les feuilles sénescentes, en comparaison des adultes élevés sur les capsules. La consommation, le taux de croissance et la performance étaient plus bas chez les larves parasitées. Le pourcentage de parasitisme était plus élevé (84,1%), chez les larves de H. armigera nourries sur les capsules. Une fois l'insecte nourri sur les capsules, son parasitoïde C. chlorideae montrait une durée plus courte de développement et une survie plus améliorée.