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Emblèmes médicaux des temps modernes: Du bâton serpentaire d'Asklépios au caducée d'Hermès1
Published online by Cambridge University Press: 19 April 2010
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Dans l'art religieux du XIIIe siècle, l'une des Vertus, la Prudence, est une femme assise, ayant dans la main droite une lance, dans la main gauche un bouclier, et un bâton autour duquel s'enroule parfois un serpent (fig. 60,2). Celui-ci rappelle les paroles de Jésus: «Soyez prudents comme des serpents». Elle apparaît ainsi à Paris, à Chartres.
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- Copyright © International Committee of the Red Cross 1933
References
page 213 note 2 MATTHIEU, X, 16; MÂLE, L'ari religieux du XIIIe siècle en France p. 145, fig. 61, p. 149.
page 213 note 3 Id., L'art religieux de la fin du moyen-âge, p. 337, fig. 157, p. 338.
page 213 note 4 Ibid., p. 343.
page 220 note 1 Médaille de Marsile Ficin, mort en 1499. Prudence debout tenant le serpent, et non Hygie, comme on l'a dit à tort. KLUYSKENS, I, p. 304; Delaroche, , Trésor de Numismatique et de Glyptique, Médailles coulées et ciselées en Italie, pl. XXXVI, 1Google Scholar; Holländer, , Plastik und Medizin, 1912, p. 541Google Scholar, fig. 408. — Médaille de Boccace, même motif, Museum, Mazzuchellianum, I, Venise, 1761, pl. VIII, no 5, p. 61Google Scholar («simbolo di talento e di prudenza»).
page 220 note 2 Mâle, , L'art religieux de la fin du moyen-âge, p. 346Google Scholar, ex. (tombeau de Sixte IV, mort en 1451, à Sainte-Marie sopra Minerva par Astorgio Agnense).
page 220 note 3 Diet, des ant., s. v. FURIAE, p. 1418, fig. 3370.
page 220 note 4 Tombeau de Louis XII à Saint-Denis, œuvre italienne, Mâle, , op. l., p. 536.Google Scholar
page 220 note 5 Ibid., p. 346. — Médaillon du cœur de Louis XIII, église de Saint-Paul de Paris, par Jacques Sarrazin (1558–1660): la Prudence assise à gauche, avec le serpent enroulé autour de son bras gauche, se contemple dans un miroir quelui présente un Amour. Musée de sculpture comparée du Trocadéro, I, pl. 114, fig. 24. — Tombeau de François II et de Marguerite de Foix, Nantes, par Michel Colombe: Prudence se regarde dans le miroir qu'elle tient de la main gauche, à ses pieds le serpent. Roussel, , La sculpture française, Epoque de la Renaissance, pl. 3Google Scholar; Mâle, , op. l., p. 348Google Scholar, fig. 161, p. 349.— Médaillon de l'Hôtel du Montat, Kiom: Prudence, avec le miroir dans lequel elle se regarde, et le compas, Roussel, , op. l., Epoque de la Benaissance, pl. 39.Google Scholar — Tom-beau de Louis de Bréze, mort en 1531, Rouen. Les attribute des quatre vertus cardinales sont condensés en une seule figure: une femme ailée, assise sur un buisson d'épines, glaive en main, mors dans la bouche, serpent autour de son bras (Prudence). Roussel, , op. l., Epoque de la Renaissance, pl. 42.Google Scholar — Médaffie d'Antoine, roi de Navarre, 1560, Prudence assise, le miroir dans la droite, le serpent à gauche; devise Adversis nescia vinci. Delaroche, , Trésor de numismatique et de glyptique, Médailles françaises, 1834, pl. CXXV, 6.Google Scholar
page 221 note 1 Voir plus haut, p. 133.
page 222 note 1 RIPA, Iconologia, éd. 1625, p. 536.Google Scholar
page 212 note 2 Bernoulli, , Basler Büchermarken, 1895, p. 89Google Scholar, no 159–160.
page 212 note 3 Mâle, , L'art religieux après le Concile de Trente, p. 404.Google Scholar
page 212 note 4 Emblemata Andreae Alciati, Anvers, 1684, p. 58.
page 212 note 5 Baudoin, , Recueil d'emlblèmes divers, Paris, 1647, IIe partie, p. 88Google Scholar, fig. «Qu'il faut se hâter bellement… Car on sait bien que le dard en est une de vitesse, et que la remore en est une autre d'empêohement et de tardivité».
page 212 note 6 ex. Baudoin, , Iconologie, Amsterdam, 1798, p. 205Google Scholar, fig. 137, p. 210, CXXXVII; BOUDARD, III, p. 84.
page 212 note 7 Mâle, , L'art religieux après le Concile de Trente, 1932, p. 387Google Scholar; ex. iresque du Dominiquin, à San Carlo ai Gatinari, Rome, 1628–30.
page 223 note 1 Museum Mazzuchellianum, I, Venise, 1761, pl. XXXV, no VIII.
page 223 note 2 Ibid., II, 1763, pl. CCIII, 1, p. 418. Sur Minerve et sa lance serpentaire, devenue divinité médicale, voir plus haut. On remarquera, d'autre part, que Prudence, au moyen-âge, porte aussi des armes, lance et bouclier, et par suite a pu facilement se confondre avec Minerve.
page 223 note 3 Boudard, , Iconologie, 1759, II, p. 416.Google Scholar
page 223 note 4 Baudoin, , op. l., p. 464, 461Google Scholar, fig. 61.
page 225 note 1 RIPA, op. l., p. 27.Google Scholar
page 225 note 2 Boudard, , op. l., II, 132.Google Scholar
Le miroir est l'attribut de bien d'autres allégories de Eipa et de ses successeurs, et se prête à des sens divers. Ex. «Apprensivo», Ripa, p. 42; «Contento», p. 129; «Origine d'Amore, p. 485; Verrien, , Recueil d'emblèmes, Paris, 1724, pl. 61Google Scholar, no 8; «Operatione perfetta», RIPA, p. 480; «Sens de la vue», BOUDARD, III, p. 123; «Science», ibid., p. 118.
page 225 note 3 Catalogue der Nederlandsche, etc., Catalogue du Cabinet royal des Médailles, Gravenhage, 1903, I, pl. XII, 851.
page 225 note 4 Museum Mazzuchellianum I, p. 267, pl. LIX, 1 («simboli della vigilanza, della pradenza et di mente retta»).
page 225 note 5 Baudoin, , Recueil d'emblèmes divers, Paris, 1647, 2e partie, p. 290.Google Scholar
page 225 note 6 Venle Helbing, Munich, 1926, pl. 26, no 986.
page 225 note 7 Sammlung Vogel, Catalogue de monnaies, Hess, Francfort, 1928, no 6779, pl. 19; Vente Helbing, Munich, , Münzen und Medaillen des Mittelalters und der Neuseit, 1924, pl. XIII, 526.Google Scholar
page 227 note 1 Les légendes des médailles portent souvent à côté du serpent la mention «Vigilantia».
page 227 note 2 Henry, , Les ex-libris de médecms, 1908, p. 13Google Scholar, fig. 10.
page 227 note 3 Kluyskens, , op. l., I, p. 383.Google ScholarFig. 20.
page 228 note 1 Musée de Genève, no 30328. Fig. 19.
page 228 note 2 Kluyskens, , op. l., I, p. 6.Google Scholar
page 228 note 3 Voir plus haut, p. 144, les exemples que nous avons donné du bâton serpentaire.
page 228 note 4 Voir plus haut, p. 133.
page 228 note 5 Feuardent, , Jetons et méreaux, I, 1904, p. 375Google Scholar, no 4768, en 1775; Musée de Genève, no 30456 (en 1775); no 30449 (Ecole pharmaceutique de Paris); no 30431 (Collège de pharmacie, 1778). Fig. 40.
page 228 note 6 Feuardent, , op. l., II, p. 432Google Scholar, no 10772; Musée de Genève, no 23645.
page 228 note 7 Ibid., II, p. 289, no 9200.
page 228 note 8 Ibid., I, p. 373, no 4743.
page 228 note 9 1646; ibid., I, p. 357. Même devise.
page 229 note 1 Ibid., I, p. 373–4, no 4746–60; œil et serpent, p. 374, no 4748.
page 229 note 2 Ibid., I, p. 372, no 4724.
page 229 note 3 Ibid., I, p. 358, no 4514.
page 229 note 4 Main tenant des serpents, sur la médaille de l'aventurier Scott, 1540, devise «Utcumque»; Sammlung A. Löbbecke, Kunstmedaillen, 1908, pl. XXIX, no 548. — Main céleste étouffant un serpent couronné, sur le sol d'autres reptiles. Légende «Ipsi peribunt, tu autem remanebis», 1627. Catalogue de la collection Rouyer, II, 1910, p. 156, p. 2975.
page 231 note 1 Société médico-philanthropique de France, 1806. Un autel, surmonté d'une coupe (celle d'Hygie); sur la face de l'autel, le serpent entourant un miroir; à coté de l'autel, un coq, symbole de vigilance. Musée de Genève, no 30451. Fig. 21.
Médaille du Dr VLEMINCKX, par les officiers du service sanitaire, Bruxelles, 1853; «le bâton d'Esculape surmonté d'un miroir», KLUYSKENS, II, p. 588. Fig. 22.
Société de médecine légale de France, 1888, le miroir au serpent, au dessus de la coupe d'Hygie. Musée de Geneve, no 30472. Fig. 23.
page 231 note 2 XIXe siècle. — Dr BAILLY, sur le disque du miroir «Speculum Vitae», Henry, , op. l., p. 37Google Scholar, fig. 40.
Dr DUFOUR, ibid., p. 59, fig. 57.
Dr LB BAYON, le miroir réfléchit des rayons, ibid., p. 39, fig. 42, et p. 160, fig. 105.
Dr CABANÉS, ibid., p. 52, fig. 52, le miroir étincelle.
On remarquera que sur les boutons d'uniformes français, le miroir jette souvent aussi des rayons, Lienhart, et Humbert, , op. l., IV, p. 56Google Scholar, an XII (étoile), pl. 38, 39, 1844 (rayons).
page 231 note 3 Voir la vignette en tête du Manuel à l'usage des gradés et soldats du Service de Santé, 1926, éd. 1931, publié par le Ministère de la Défense nationale. L'insigne est le même pour les services de santé, pharma-ceutique et vétérinaire.
page 231 note 4 Dr Blanchard, , Henry, , op. l., p. 45Google Scholar, fig. 47.
page 231 note 5 Ex-libris du Dr GRENIER DE CARDENAL, collection Reber, musée de Genève. Signalons que la «Démocratie» de Eipa est une femme qui tient dans une main une grenade ouverte, de l'autre un serpent; Ripa, , op. l., p. 162Google Scholar; Boudard, , op. l., I, p. 146.Google Scholar
page 231 note 6 Gerlach, , Allégories et Emblèmes, Vienne, IGoogle Scholar, no 114.
page 233 note 1 HENRY, op. l., fig. 52. Voir plus loin, à propos du caducée.
page 233 note 2 Fallou, , Le bouton uniforme français, 1915, p. 22Google Scholar, 2e rang.
page 233 note 3 Ibid., p. 23, 1er rang en haut.
page 233 note 4 Lienhart, et Humbert, , op. l., IV, pl. 42.Google Scholar
page 233 note 5 Fallou, , op. l., p. 23Google Scholar, 2e rang à gauche; LIENHART et HUMBERT, IV, p. 152 (an XII), pl. 26; Bégin, , Etudes sur le Service de santé militaire en France, 1849, p. 293Google Scholar: «Le règlement de l'an VI produit, pour la premiere fois peut-être, le bouton spécial des officiers de santé, timbré au milieu d'un faisceau, formé de trois baguettes, entourées du serpent d'Epidaure. On assure que ce bouton fut adopté sur la proposition de Louis. Le faisceau était surmonté d'abord d'un coq, aux ailes éployées, oiseau consacré à Esculape, qui a fait place, pendant l'ère impériale, au miroir de la Prudence.
page 233 note 6 Fallou, , op. l., p. 23Google Scholar, 2e rang à droite; LIENHART et HUMBERT, IV, pl. 36.
page 234 note 1 Fallou, , op. l., p. 23Google Scholar, 3e rang à gauche.
page 200 note 2 Fallou, , op. l., p. 23Google Scholar, 3e rang à droite, 4e et 5e rangs; LIENHART et HUMBERT, IV, p. 158 (1844, «faisceau de trois baguettes, contourné du serpent d'Epidaure, surmonté du miroir de la prudence»), pl. 38; p. 167, pl. 41 (infirmier, 1879), pl. 42 (infirmier, 1887); FALLOU, p. 96 (giberne des officiers de santé sous Louis-Philippe); p. 150 (giberne sous le Second Empire); LENOURY, op. l., p. 15, fig. (d'après Baudouin); cf. encore Intermédiaire des Ohereheurs et Curieux, XIII, 1880, p. 134; LXIV, 1911, p. 722; LXXX, 1919, p. 335.
page 234 note 3 Fallou, , op. l., p. 274Google Scholar; LIENHAET et HUMBERT, IV, pl. 39.
page 234 note 4 Motif qui remonte à l'antiquité.
page 234 note 5 Ex. Médaille de Spinosa, XVIe siècle, Museum Mazzuchellianum, I, 1761, p. 401, pl. XC, no III.
page 235 note 1 Baudouin, , La préhistoire du caducée, La Médecine illustrée internationale, 1918, XXVI, p. 20Google Scholar; Intermédiaire des Chercheurs, LXXXI, 1920, p. 83, etc.; Lenoury, , Le caducée à travers les âges, 1925, p. 11Google Scholar, 36, 43, 44, 47, 59, 65.
page 235 note 2 Livet, , Le caducée ésotérique, Bull, de la Société d'Histoire de la Médecine, 1922, p. 127Google Scholar; cf. Lenoury, , op. l., p. 8Google Scholar, 44, 56 sq.
page 235 note 3 LENOURY, passim. Voir les références que nous donnons plus loin à propos du «caducée médical».
page 236 note 1 Cahier, , Caractéristiques des Saints, p. 691, 751.Google Scholar
page 236 note 2 Ibid., s. v. Calice, p. 172; cf. les légendes analogues des saints Licinien, Pourçain, Louis Bertrand, du bienheureux Buanagiunta Marietta.
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page 238 note 1 Voir plus haut, p. 136.
page 238 note 2 Médaille de l'empereur Charles V (1519–1558), Hygie sacrifiant à un autel, tendant la coupe au serpent. «Salus Publica». Sammlung A. Löbbekke, Halle, 1925, p. 3, no 18, pl. III. Fig. 68, 1.
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page 239 note 2 Ibid., p. 550, fig. 416.
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page 239 note 8 Faculté de médecine de Paris, 1740–1, Apollon et Hvgie, FEUARDENT, I, p. 363, no 4580 sq.
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page 243 note 5 Voir la devise de la médaille VERDENBERG, note précédente.
page 243 note 6 Adrian, , Devises royales, Paris, 1621, p. 13Google Scholar; un serpent en cercle se mordant la queue, dans le cercle une colombe. Devise «In Festis prudens». Ce sont toujours le serpent de prudence et la colombe de la simplicité du texte biblique. — Verrien, , Recueil d'emlblèmes Paris, 1724, p. 29Google Scholar, pl. 29, no 13, «un serpent qui se bouche l'oreille avec le bout de sa queue. Ut prudenter vivam. C'est afin de vivre prudemment».
page 243 note 7 POTERIUS, 1665, KLUYSKENS. II, p. 321. Fig. 42.
MEYER, 1819, ibid., II, p. 216.
HAHNEMANN, 1834, 1836, ibid., II, p. 8. Fig. 41.
Ecole de Médecine de Paris, 1805, Bramsen, , op. l., I, p. 77Google Scholar, no 469; Musée de Genève, no 23538, 30454. Fig. 43.
Jeton de la Société de Médecine de Genève, XIXe siècle, à l'intérieur du cercle, un coq sur un faisceau. Exergue; «Concordia, vigilantia (le coq), prudentia (le serpent). Musée de Genève.
page 243 note 8 Pharmaciens-apothicaires de Paris, XVIIIe s., Vipère au-dessus d'un tombeau, FEUAEDENT, I, p. 374, no 4752; Musée de Genève, no 30442, 30460.