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Published online by Cambridge University Press: 19 April 2010
La nouvelle politique sociale instaurée par le régime fasciste en Italie a incontestablement donné à toutes les institutions qui visent à améliorer la race, sous toutes les acceptions, une puissance de moyens qui n'aurait jamais pu être obtenue précédemment, malgré toutes les théories et toutes les déclarations de bonne volonté. Je puis donc affirmer — et d'autant plus que ces pages sont destinées à la Revue internationale de la Croix-Rouge — que la Société italienne, dont je m'honore d'être le président, a commencé à s'élever vers la situation qu'elle occupe actuellement, lorsque, la présidence m'en ayant été confiée par le Duce, j'ai tout de suite compris qu'il fallait redonner de la vigueur ' son organisme fatigué ce que j'ai fait d'une manière graduelle et méthodique. J'avais pris ainsi l'engagement, devant la nation et envers moi-même, d'amener la Croix-Rouge italienne jusqu'au plan où elle pourrait avoir une vie aussi intense, une action aussi étendue que toute la société italienne de cette nation qui, soumise aux principes indiscutables autant qu'humanitaires qui permettent aux peoples civils de se développer et de progresser, marche vers son avenir de prospérité et de grandeur pacifique sous le signe du Littorio.