Published online by Cambridge University Press: 19 April 2010
page 167 note 1 Les données historiques utiliées dans cette rubrique ont été rassemblées avec le plus grand soin par M. P. Frutiger, qui termina ce travail le jour même où la mort vint le frapper si prématurément. L'auteur tient à rendre un hommage reconnaissant à la mémoire de ce collaborateur érudit du Comité international de la Croix-Rouge.
Pour ne pas alourdir la présente étude, nous ne donnerons pas de références bibliographiques, mais nous en tenons la liste à la disposition des lecteurs qu'elle pourrait intéresser.
page 167 note 2 Nous écrirons «signe de la croix rouge», avec des lettres minuscules, afin de réserver la denomination de «Croix-Rouge», portant des lettres majuscules et un trait d'union, à l'institution de la Croix-Rouge.
page 169 note 1 Voir Revue internationale, décembre 1948, p. 866.Google Scholar
page 170 note 1 Le signe de la croix rouge est parfois appelé «croix de Genève», non pas parce qu'il s'apparenterait aux armes de cette cité, qui n'ont avec lui aucune analogic mais parce qu'il a vu le jour a Genève.
page 171 note 1 Peut-être trouvera-t-on une fois la clef de l'énigme dans les rapports que les délégués à la Conférence de 1863 firent sans doute à leurs Gouvernements. N'y a-t-il pas Ià un beau sujet de recherches pour les Sociétés nationales de la Croix-Rouge des pays alors représentés?
page 173 note 1 La devise du Comité international: Inter arma caritas, reprise sous des formes analogues par nombre de Sociétés nationales, a été adoptée par lui en 1888, a l'instigation de G. Moynier.
page 175 note 1 Voir ci-dessous, page 192.
page 176 note 1 Ou alesée, c'est-à-dire dont les branches ne touchent pas les bords de l'écusson.
page 178 note 1 Le mérite en revient à M. Auguste-Raynald Werner. Voir son ouvrage «La Croix-Rouge et les Conventions de Genève», Genève 1943, notamment aux pages 125 et 130. Voir également Revue internationals, mai 1944, page 359.
page 178 note 2 Dans le présent article, l'expression, d'ailleurs traditionnelle, de «Convention de Genève» désigne la première Convention de Genève, de 1864, 190é et 1929 (plus particulierement sous sa forme dernière), pour l'amélioration du sort des blessés et des malades dans les armées en campagne. C'est elle qui, avant toute autre, réglemente l'usage du signe de la croix rouge.
page 180 note 1 Indiquons ici, pour ne plus y revenir, que cette expression couvre aussi, pour les pays qui les emploient, le croissant rouge sur fond blanc comme le lion et soleil rouges sur fond blanc.
page 180 note 2 Voir Revue internationale, mai 1936, page 409, (hors-texte).Google Scholar
page 190 note 1 Les médecins et les pharmaciens pourraient 1égitimement demander à pouvoir user uniforméinent d'un signe distinctif qui signale leur maison ou leur voiture, voire leur personne, à l'attention du public. Au lieu de tenter d'obtenir la croix rouge comme emblème, ce qui est absolument impossible, pourquoi les médecins n'adopteraient-ils pas le «baton serpentaire», marque d'Esculape (que l'on a souvent confondu a tort avec le «caduce'e», symbole du commerce), comme les autorités médicales françaises et allemandes l'ont recommandé? Quant aux pharmaciens, ils pourraient arborer l'ancienne marque de leur profession: le serpent lové autour de la coupe d'Hygie, fille d'Esculape. (Voir Revue Internationale de la Croix-Rouge: février, mars et avril 1933, pages 128, 218 et 310; février 1935, page 113; Janvier 1942, page 77; février 1943, page III. )
page 192 note 1 Voir ci-dessus, page 173.
page 193 note 1 Voir hors-texte, figure I.
page 194 note 1 Voir hors-texte, figure II.
page 194 note 2 Voir le texte de cet article dans la Revue internationale, octobre 1948, page 719.Google Scholar
page 195 note 1 Revue internationale, décembre 1948, page 909.
page 195 note 2 Voir hors-texte, figure III.
page 196 note 1 Voir le texte de ces articles dans la Revue internationale, novembre 1948, pages 798 et 799.Google Scholar
page 197 note 1 Voir le texte de cet article dans la Revue Internationale, novembre 1948, p. 796.Google Scholar
page 197 note 2 Voir, en ce qui concerne la création d'un signe spécial pour les médecins, page 190, note 1, ci-dessus.
page 199 note 1 Voir le texte de cet article dans la Revue Internationale, octobre 1948, p. 719.Google Scholar
page 199 note 2 Le Comité international, en 1870, refusa de couvrir du signe de la croix rouge l'Agence des prisonniers fondée à Bâle, du fait qu'elle devait s'occuper d'hommes qui n'étaient pas blessés. L'Agence arbora une croix verte. — (Cf. Revue Internationale, sept. 1943, p. 743 (N.d.l.R.))Google Scholar