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Max Huber: (1874-1960)
Published online by Cambridge University Press: 19 April 2010
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Au moment du décès de Max Huber, la Revue internationale a rendu, dans plusieurs numéros successifs, un hommage ému et reconnaissant à celui qui a tant donné de lui-même à la cause de la Croix-Rouge. Et c'est surtout son ceuvre de penseur, de juriste et d'homme d'action, comme membre, puts président et président d'honneur du CICR, qui a été évoquée. Nous y reviendrons prochainement en publiant d'autres contributions dues a des personnalités appartenant à notre mouvement.
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- Copyright © International Committee of the Red Cross 1961
References
page 313 note 1 Voir Revue internationale Janvier, février, mars 1960.
page 315 note 1 Editions Rotapfel, Zurich, 1958.
page 315 note 2 Particulièrement au quatrième volume de ses essais variés (Rückblick und Ausblick) se trouvent toute une série de notes autobiographiques. Cf. également son autobiographie dans Schweizer Köpfe, 1940.
page 315 note 3 Cf. Jellinek, Georg: Johann Caspar Bluntschli, dans Ausgewählte Schriften und Reden, 1911, vol. I, p. 284 et ss.Google Scholar
page 316 note 1 Die Gemeindeschaften der Schweiz auf Grund der Quellen dargestellt.
page 317 note 1 Cf. Gierke, Die Genossenschafts Theorie und die deutsche Rechtssprechung, 1887, p. 859 et suivantes. Une critique détaillée de la thèse de Max Huber se trouve dans celle que j'ai faite à Berlin sur le même sujet: Beiträge zur völkerrechtlichen Lehre vom Staatenwechsel, 1925, p. 35 et suivantes. (Contributions à la doctrine de droit international public sur la succession d'Etats).
page 318 note 1 Max Huber obtint d'abord la «venia legendi» (1902), comme privat-docent. En 1903 il fut nommé professeur extraordinaire et, en 1914, professeur titulaire. II abandonna ses fonctions en 1921 et fut alors nommé professeur honoraire. Se référant à son activité professorale, associée principalement à celle de Jacob Schollenberger (venu de l'ad ministration cantonale, esprit profond bien qu'un peu oublié), Gagliardi ecrit (Die Universitdt Zürich 1833é1933 (1938), p. 840): « En dehors du droit public, (suisse et général) à côté du droit ecclésiastique et du secteur spécial du droit des eaux, le droit international public prédomina toujours davantage dans les cours et les exercices de Max Huber ». A propos de la chaire de Zurich offerte à Schücking, voir: Huber, Max: Walter Schücking und die Völkerrechtswissenschaft, Die Friedens-Warte, année XXXV, 1935.Google Scholar
page 319 note 1 Revue de Droit suisse. N. F. Vol. 23, 1904.Google Scholar
page 319 note 2 A noter cependant l'observation de caractère polémique de Jellinek, G.: Allgemeine Staatslehre, 3e éd. 1914, p. 783, ann. 2.Google Scholar
page 320 note 1 « Beiträge zur Kenntnis der soziologischen Grundlagen », Annuaire de Droit public, 1910, p. 61.
page 322 note 1 Cf. Traité de droit international public, Vol. II, 1954, p. 304, note 2, P. 303.Google Scholar
page 322 note 2 C'est à cette époque (1914) que se situe aussi la fondation, sur l'initiative de Max Huber, de la Société suisse pour le Droit international, dont il fut le premier président, Cf. H. Fritzsche, Die Schweizerische Vereinigung für Internationales Recht (1914é1944), Hommage à Max Huber, 1944.
page 323 note 1 Cf. Huber, Max, Koexistenz und Gemeinschaft, Völkerrechtliche Erinnerungen aus sechs Jahrzehnten, Schweiz. Jahrbuch für Internationales Recht, 1955, vol. XII, Cf. en particulier, p. 19 et ss.Google Scholar
page 323 note 2 Dans, l'Annuaire suisse de Droit international, vol. IX, 1952, p. 7Google Scholar et suivantes, Max Huber a consacré à Calonder une nécrologie émouvante, reproduite plus tard dans ses «Essais et Allocutions réunis » (Rückblick und Ausblick, 1957, P. 411 et ss.).Il termine par ce jugement pertinent: « La Suisse possédait en la personne de Calonder non seulement un homme d'Etat remarquable, mais un représentant tout aussi remarquable du Droit international public. Tous ceux qui eurent le privilège de travailler avec Calonder et eurent avec lui des contacts humains ou professionnels, savaient aussi qu'il était un homme d'une intégrité absolue, animé d'un esprit de justice immuable et qui avait au plus haut degré conscience de ses responsabilités. »
page 325 note 1 La reconnaissance de la neutralité comme «engagements internationaux pour le maintien de la paix » mentionnée à l'art. 435 du Traité de paix de Versailles ainsi que dans la Résolution du Conseil de la Société des Nations du 13 février 1920, a sans doute été formulée par Max Huber. Cf. Wartenweiler à l'endroit précité, p. 118.
page 326 note 1 Cf. Guggenheim, . Traité de droit international public. Vol. II, 1954, p. 265 et ss., et p. 558.Google Scholar
page 326 note 2 Cf. Huber, Max « Essais variés », vol. IV, Rückblick und Ausblick. p. 418.Google Scholar
page 327 note 1 Cf. Wartenweiler, op. cit., p. 122.
page 327 note 2 Cf. surtout, : « La Suisse et la Société des Nations », dans L'Origine et l'œuvre de la Société des Nations, vol. II, p. 68 et ss. Copenhague, 1924.Google Scholar
page 327 note 3 Cf. Schücking, et Wehberg, : Die Satzung des Völkerbundes, 2e éd., 1924, p. 608Google Scholar et ss. Guggenheim: Der Völkerbund, 1932, p. 148 et ss.
page 327 note 4 Bundesblatt, 1919, vol. V, p. 925Google Scholar et ss.
page 328 note 1 Sur les débuts de l'activité du conseiller fédeéral Motta à la tête du Département politique, voir, Max Huber: Rückblick nnd Ausblick, P. 427 e t ss.
page 329 note 1 Cf. en particulier Guggenheim, , Traité de droit international public, 1954, vol. II. p. 120, ann. 2.Google Scholar On y trouvera des indications plus précises sur les circonstances dans lesquelles fut réalisé le projet que Max Huber avait déjà soumis à la deuxième Conference de la Paix de La Haye.
Cf. également Guggenheim, «Der sogenannte automatische Vorbehalt der inneren Angelegenlieiten gegenüber der Anerkennung der obligatorischen Gerichtsbarkeit des internationalen Gerichtshofes in seiner neuesten Gerichtspraxis ». Hommage dédié à Alfred Verdross, 1960, p. 119 et ss.
page 39 note 2 Revue de Droit international public, vol. XII, figure également dans Huber: Essais variés, vol. III, p. 197 et ss.
page 330 note 1 Cour permanente de Justice internationale, série A, no I, p. 35 et ss.
page 331 note 1 Série B, no 12.
page 331 note 2 Affaire des biens britanniques au Maroc espagnol, sentence arbitrale du Ier mai 1925, Recueil des sentences arbitrates des Nations Unies, vol. II, p. 615 et ss.
page 331 note 3 «Island of Palma Case raquo;, sentence arbitrale du mois d'avril 1928. Recueil des sentences arbitrales des Nations Unies, vol. II, p. 829 et ss.
page 332 note 1 Dénonciation unilatérale des capitulations en Chine. Cour permanente de justice internationale, Série A, nos 8, 14 et 16.
page 334 note 1 Etude des amendements à apporter au Statut de la Cour internationale de Justice, Annuaire de l'lnstitut de droit international, 1954, vol. I, p. 4Google Scholar et ss. (Voir la délibération lors de la session d'Aix-en-Provence), Annuaire, 1954, vol. II, p. 61 et ss.
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- Cited by