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Published online by Cambridge University Press: 28 April 2020
A stimulating variety of papers on genetic and clinical research in psychiatry was discussed at the latest meeting of the American Psychiatric Association and the Society of Biological Psychiatry in May 1990 in New York. Conflicting results point out that extreme caution must be taken in interpreting linkage studies of psychiatric disorders. Difficulties stem from complex models on inheritance as well as the genetic heterogeneity of psychiatric disorders. Progress has been made in the approach to the regulation of receptor genes that have been implicated in the pathogenesis of psychiatric disorders. In some cases, gene regulation may be tissue-dependent, as is suggested by the alternative splicing of D2 receptor mRNA.
Les congrès annuels de l'association américaine de psychiatrie et de la société américaine de psychiatrie biologique se sont tenus en mai 1990 à New York. Les recherches génétiques (études de liaison, études chez des jumeaux, biologie moléculaire des gènes des récepteurs impliqués dans les maladies mentales) ont occupé une place de choix. Les controverses se poursuivent autour des liaisons qui ont été rapportées antérieurement entre la psychose maniaco-dépressive, la schizophrénie, la maladie d’Alzheimer, et des marqueurs génétiques. Ces difficultés sont expliquées par des caractères en partie propres à la psychiatrie, tels que la complexité des modes de transmission génétique, l‘hétérogénéité génétique et clinique des troubles, la difficulté de définir les phénotypes et la révélation tardive de certaines affections. La connaissance de la régulation des gènes impliqués dans les maladies mentales, notamment celle des gènes des récepteurs D2, a aussi progressé notablement.
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