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Published online by Cambridge University Press: 17 August 2016
Au cours de l’évolution séculaire étudiée, l’industrie de la carbonisation de la houille subit de grandes modifications dans ses procédés de fabrication et dans sa structure. Il est donc nécessaire de caractériser les entreprises par un critère simple : le lien physique étroit qui unit la cokerie au charbonnage qui l’alimente en fines (cokerie « charbonnière ») ou à l’entreprise sidérurgique dont la cokerie alimente les hauts fourneaux et, éventuellement, les divisions annexes (cokerie «métallurgique»). En l’absence de tout lien physique avec une entreprise minière ou sidérurgique, nonobstant les liens juridiques éventuels de l’usine avec telle ou telle entreprise de ces espèces, il y a la cokerie « indépendante ».
(page 57 note 1) A la demande de Mr. SIMONOVITCH, nous insérons la mise au point suivante : A la page 96 du tome XV, n° 3, nous avons dit « Pourvue pourtant d’excellentes fines, la production anglaise, handicapée par un outillage déjà désuet pour l’époque», et, à la page 155, nous avons rappelé «qu’on veuille bien songer à l’équipement désuet des cokeries anglaises ».
Dans les deux cas, nous nous sommes référés à la note (7), page 65, libellée : « M. SIMONOVITCH, op. cit., Statistiques réunies, aux pages 11 et 13 » (du Manuel de la cokerie moderne, Tome 1). Ces statistiques ne comportent aucun commentaire ni appréciation sur le caractère désuet de l’outillage anglais; notre assertion ne se base donc sur aucune appréciation de Mr. SIMONOVITCH, qui n’a formulé ni à la page 11, ni ailleurs dans le premier tome de son ouvrage Manuel de la cokerie moderne, explicitement ou implicitement, de jugement de cet ordre.
Elle s’appuie notamment sur le pourcentage des fours sans récupération et concorde avec les vues exprimées dans R.C.Smart, The Economies of the Coal Industry, pp. 51–53.
Contrairement à la note (3) de la page 57, c’est par erreur que nous avons attribué à Mr. SIMONOVITCH l’affirmation que la récupération commence à prendre quelqu’essor en Belgique, vers les années 1900.
(page 58 note 1) Recueil Financier, Vo « Forges de Clabecq ».
(page 58 note 2) G. DE LEENER, Le marché charbonnier belge, Bruxelles, 1908, pp. 17 19, 74, 133 et 206.— « Rheinisch-Westfälisclies Kohlen Syndikat » à (Syndicat des Cokes Belges ». Lettre du 21 février 1914. S.C.B.
(page 58 note 3) Recueil Financier, Vo « Carbonisation Centrale ».
(page 59 note 1) Pour le chauffage des fours de verrerie (cokerie de Moll-Gompel, dela S.A. GLAVER). Voir : G. LEBURTON, La situation actuelle de l’industrie du gaz en Belgique, Annales des Mines, 1er sept. 1949, p. 581.
(page 59 note 2) G. LEBURTON, op. cit., p. 581.
(page 59 note 3) L’exception du Limbourg belge sera examinée ci-dessous.
(page 59 note 4) Encore aujourd’hui, l’extrême Ouest du Bassin de Charleroi contient quelques disponibilités en fines, qui y ont justifié le maintien de la cokerie «charbonnière», qui y fonctionnait encore en 1939.
(page 59 note 5) P.L. MICHOTTE, La localisation de la grosse sidérurgie belgo-luxembourgeoise, avant et après 1830, dans Bulletin de la Soc. belge d’Etudes géographiques, t. II, Louvain, 1932, p. 58.
(page 60 note 1) G. DE LEENER, Le marché charbonnier belge, p. 46.
(page 60 note 2) G. DE LEENER, Le marché charbonnier belge, pp. 88 à 91 et 161. Statistiques d’achats de charbons étrangers pour fours à coke, par la :« S.A. JOHN” COCKERILL,», de 1898 à 1907. Le premier terme de la série révèle un état’de chose établi, au moins, depuis plusieurs années. Le cas est typique, car la firme acheteuse est propriétaire d’un charbonnage. Les articles relatifs aux fines, dans les conventions germano-belges des cokes, depuis le début de 1905, (Voir 1re partie, pp. 85 et 86) sont symptomatiques, eux aussi, de la régression de la production nationale, au même moment. — Annexe 7, IIme tableau et série (96), 1909–1913.
(page 60 note 3) Bn ce qui concerne le Centre et l’extrême Ouest du Bassin de Charleroi, l’évolution de la production des cokeries « charbonnières » est révélatrice. Du maximum de 816.000 T., en 1927, on passe à 182.000 T, en 1934, 201.000 T, en 1937, 117.000 T en 1939. Par rapport à 1927, la production tombe de 76.7 p.c. en 7 ans. Une telle régression ne s’explique pas suffisamment par l’assainissement technologique de la crise et les fournitures éventuelles à Tertre. L’épuisement en ressources naturelles doit intervenir.
(page 60 note 4) Sauf Moll, liée à une verrerie, trouvant ses sables sur place.
(page 60 note 5) G. DE LEENER, Le marché charbonnier belge, pp. 162 et 163.
(page 61 note 1) En 1913, le canal Bruxelles-Charleroi n’admettait que des chalands de petites dimensions. C’est sans doute pourquoi les FORGES DE CLABECQ ont construit leur division « Cokerie » à Vilvorde. Voir p. 58, ci-dessus.
(page 61 note 2) P.L. MICHOTTE a exhaustivement étudié le site de la métallurgie belge. Voir notamment La localisation de la grosse sidérurgie belgo-luxembourgeoise, avant et après 1830, pp. 58 et 67; et La localisation de la grande industrie en Belgique, Bulletin de la Société belge d’Etudes géographiques, Louvain, décembre 1931, pp. 111 et 112.
(page 61 note 3) Les cokeries des « Staatsmijnen » du Limbourg hollandais sont également excentriques, par rapport aux localités qu’elles alimentent en gaz. Mais elles sont les seules usines de leur espèce, dans les Pays-Bas, susceptibles d’effectuer de telles fournitures.
(page 62 note 1) Annexe 7, 1er tableau. L’année 1886 est donnée à titre de simple indication; elle ne peut servir de point de départ à l’étude parce que perturbée’par les grèves des régions industrielles du Hainaut et de Liège, en ce moment, et isolée de toute série. I,’annexe 7 remplace les séries (34a), (34b) et (34c) et la courbe 5 du graphique Va, 1re Partie.
(page 62 note 2) Le fait doit sans doute être mis en relation avec la formation de l’ARBED, en 1911. Les «Forges d’Eich» en furent un des constituants (Voir 1re partie, p. 103). A signaler en outre, que la production de l’« ESCHWEILER BERGWERKSVEREIN (Aix-la-Chapelle), qui a abandonné le SYNDICAT d’Essen en 1907, concurrence très fort, déjà à ce moment, les cokes des SYNDICATS belge et allemand dans le Grand-Duché de Luxembourg. Mémoires du « Syndicat » belge; 23 janvier et 3 juillet 1909; début de 1914. S.C.B.
(page 62 note 3) Elles étaient réputées fabriquer du coke de qualité convenant principalement à la cimenterie. En 1906, elles ne faisaient pas partie du « Syndicat des Cokes Belges ». Voir : G. DE LEENER, Le marché charbonnier belge, p. 73.
(page 63 note 1) La date de 1913, donnée par l’annexe 3 (1re partie), comme étant celle de la mise à feu de l’usine « indépendante » de Tilleur, est erronée.
Recueil Financier, (édition de 1921) : Vo « Société des Charbonnages du Horloz » et Vo « Charbonnages de La Haye »; Recueil Financier, Vo « Engrais et Produits Chimiques de la Meuse ».
(page 64 note 1) En 1913, des quatre cokeries des provinces septentrionales, deux fonctionnent exclusivement pour la sidérurgie belge : Willebroeck et Hoboken (à feu en 1912), Zeebrugge fournit exclusivement à la division de Rombas (Lorraine allemande) de la « Rombacher Huttenwerke. A.G. » et Zandvoorde (à feu en 1913), aux « Aciéries de Marine et Homécourt » (Meurthe-et-Moselle). Lettre du « Rheinisch-Westfälisches Kohlen Syndikat » à « Syndicat des Cokes Belges», 21 février 1914. S.C.B.
(page 64 note 2) G. DE LEENER, Le marché charbonnier belge, pp. 132 à 136, 268, 150. Voir en outre : Archives de la 1re Inspection des Mines. Dossier 183; lettre de Charleroi, le 10 mars 1908. L’Ingénieur en chef Directeur du 4me arrondis sement à l’Inspecteur Général de la 1le Inspection : un métallurgiste de Char leroi, relavant les fines, avant carbonisation dans ses propres fours, obtient du coke à 15 p.c. de teneur en cendres et eau, alors que le coke syndical a normalement 25 p.c. En outre, les conventions germano-belges des cokes pour 1903, 1904, 1905 à 1909, 1910 à fin 1912 (S.C.B.), prévoient expressément que les prix fixés par accord des deux SYNDICATS devront comporter, en général, une différence de qualité de 10 p.c. entre le coke ordinaire belge et le coke rhénan-westphalien, en faveur de ce dernier.
(page 64 note 3) Willebroeck et Zeebrugge, à peu près de la même importance, ont réalisé 338.000 T en 1911. La lettre, citée ci-dessus, du Syndicat d’Essen, attribue une production annuelle de 54.000 T à Hoboken. Les cokeries du Nord du pays ont mis vraisemblablement 223.000 T, sur le marché belge, en 1913. Le solde, produit par Zeebrugge et Zandvoorde, soit 222.000 T reste disponible pour l’exportation.
(page 64 note 4) Mémoires du « Syndicat » belge : 23 janvier et 3 juillet 1909; début de 1914. « Rheinisch-Westfälisches Kohlen Syndikat » à « Syndicat des cokes belges», lettre du 30 janvier 1914. S.C.B.
(page 65 note 1) La dernière cokerie « charbonnière » de Liège est d’ailleurs éteinte en 1928.
(page 66 note 1) Les statistiques officielles ne permettent pas d’y compter la production de Vilvorde, relevée avec celle des usines « indépendantes » des provinces du Nord. Par contre, la cokerie « métallurgique » comprend l’usine « indépendante » de Tilleur.
(page 66 note 2) La production « charbonnière » comprend celle des petites usines « indépendantes » fonctionnant encore dans le Hainaut, entre 1925 et 1939.
(page 69 note 1) Les archives des organismes syndicaux de l’industrie du coke, ayant fonctionné en Belgique de 1894 à 1934, sont détruites. Ont toutefois survécu : quelques pièces du premier SYNDICAT, évoquées précédemment sous le sigle S.C.B. et les statuts et conventions ci-dessus mentionnés. Ces documents nous ont été transmis par le COMPTOIR BELGE DES CHARBONS.
(page 70 note 1) Annales des Mines, année 1923, pp. 808 et 809.
(page 70 note 2) Comme producteurs de coke, on ne relève que, des « charbonniers » du Hainaut, un « indépendant » de cette province, et six « indépendants » du Nord du pays. En outre, trois charbonnages du Hainaut et quatre de Campine, non producteurs de coke. Les « charbonniers » mentionnés ci-dessus sont évidemment partie aux deux conventions. Parmi les vingt-sept constituants, on compte, au surplus, une usine de houillère de Liège et une « indépendante » du Hainaut, arrêtées, ce qui réduit à vingt-cinq le total des firmes à activité effective. Le 15 octobre 1929, la cokerie de la régie du gaz de Bruxelles adhère à la convention « Fabricants de coke ».
(page 71 note 1) Lorsque le premier SYNDICAT s’est occupé de la chose, avant 1913, tous les producteurs de fines étaient tous aussi des producteurs de coke (Voir 1re partie, p. 84).
(page 72 note 2) Statuts et Règlements d’ordre intérieur, communiqués par le COMPTOIR BELGE DES COKES.
(page ** note 1) Le COMPTOIR BELGE DES COKES nous a communiqué : le texte de la « Convention »; le rapport du premier exerice de l’« Association Internationale des Cokes » et une note inédite sur la dite « Convention », rédigée en 1948, par M.M. PETERS.
(page 74 note 1) M. BAUMONT, La grosse industrie allemande et le charbon, Paris, 1930, pp. 271 et 272, 274 à 279.
(page 74 note 2) « Syndicat des Cokes Belges » à « Rheinisch Westfälisches Kohlen Syndikat», lettre du 25 mars 1914. S.C.B.
(page 75 note 1) Les renseignements d’ordre technique nous ont été communiqués par le Service « Fours à coke » de la Société COPPÉE.
(page 75 note 2) Dans les lavoirs modernes, on traite jusqu’aux calibres de 90 et 100 mm., les charbons de dimensions supérieures pouvant être épierrés à la main.
(page 76 note 1) G. DE LEENER, Le marché charbonnier belge, pp. 30, 89, 150, 163, 116 et 117.
(page 77 note 1) L’arrêté ministériel du 28 septembre 1949, fixant les prix maxima des charbons, définit les fines à coke «standard», comme des charbons lavés, gras ou 3/4 gras, à 10 p.c. de cendres et à 7 p.c. d’eau. Les difficultés de la guerre et de l’après-guerre ont fait remonter la teneur en cendres.
(page 77 note 2) Rectifications. En 1905, on a enfourné dans le pays 3.355.000 T de houille avec un rendement en coke de 753 kilos. En 1928, les cokeries « charbonnières » ont enfourné 2.059.000 T de houille avec un rendement en coke « métallurgique » de 707 kilos; celles de la sidérurgie, 4.193.000 T, avec un rendement de 738 kilos. Les séries (80), (84), (97) à (100) doivent donc être rectifiées en conséquence Dans la 1re partie, p. 128, « Remarque », dernière ligne, modifier « graphique IX » en « graphique X ».
(page 78 note 1) Le rendement national belge (courbe en trait plein) est calculé, de 1881 à 1921, par rapport à la production globale; de 1922 à 1939, par rapport à la production de coke « métallurgique ». Il en est de même des rendements de chacune des catégories de l’industrie belge, de 1925 à 1939. La courbe «Belgique » (1921–1939), en trait pointillé, donne le rendement en coke, calculé par rapport à la production nationale globale : série (1) + série (65) + série (66).
(page 78 note 2) Il s’agit du rendement total. Voir Annexe 6, p. 105.
(page 79 note 1) Voir 1re partie, pp. 67 et 68.
(page 79 note 2) M. LASALLE, Considérations générales sur la valeur marchande du gaz en Belgique, Revue Générale du Gaz, Bruxelles, n° 1, janvier 1941, p. 3.
(page 79 note 3) Cfr p. 69, ci-dessus.
(page 80 note 1) L’état réciproque des marchés du coke et du gaz de four à coke peut déterminer un emploi plus intensif du chauffage « compound » au gaz pauvre. Cela exige l’emploi de « classés » pour l’alimentation des gazogènes qui le produisent, dans les cokeries non-sidérurgiques. On peut ainsi maintenir ou accroître le volume de gaz de four à coke disponible, tout en réduisant, ou en accroissant moins que proportionnellement, la quantité de coke du marché.
(page 80 note 2) Ces usines ont la quasi-totalité du stock national de coke « métallur gique ». Voir annexe 6, p. 107, note (3).
(page 80 note 3) La Suède fait grande consommation de « classés » et occupe, avant 1939, une situation prépondérante, dans nos marchés d’outre-mer. Or, les usines du Nord du pays sont les grands fournisseurs des dits marchés. (Voir 1re partie, pp. 114 et 115).
(page 81 note 1) Voir annexe 6, p. 108.
(page 81 note 2) Depuis 1922, la série belge (78) de l’outillage est exprimée par le nombre total de journées de marche de l’ensemble des fours : 365 (366) et la série (79) donne le nombre moyen d’ouvriers occupés. Les séries allemandes sont qualifiées de façon un peu moins précise : la série (112) donne le nombre moyen de fours actifs, par opposition au nombre (non repris) de fours disponibles dans l’industrie; la série (110) donne, jusque fin 1932, le personnel soumis aux assurances sociales, très proche d’ailleurs du personnel effectif, qui est connu exactement depuis.
(page 84 note 1) On le constate également, en Allemagne, en ce qui concerne la production de fonte, autre industrie de base à feu continu : toutefois, le recul des rendements constaté pendant la récession, s’amorce déjà pendant l’expansion cyclique. Voir L.H. DUPRIEZ, Des mouvements économiques généraux, Louvain, 1947, tome II, pp. 105 et 591.
(page 85 note 1) Annexe 9, « Production de coke dans les cokeries de Grande-Bretagne (1907–1939) ».
(page 85 note 2) Voir ci-dessous, pp. 88 et 89.
(page 86 note 1) Statistiques de l’Industrie Minérale et des Appareils à vapeur, en France et en Algérie, pour l’année 1913. Paris, 1917, pp. 94 et 95.
(page 86 note 2) Vierteljahresheft zur Statistik des Deutschen Reichs. Erganzungsheft zu 1913, IV, pp. 4 et 5.
(page 86 note 3) Annexe 9. Les séries (204) et (211) comprennent : les fours sans récupé ration (fours à ruche et autres types) et les fours à récupération.
(page 86 note 4) Erratum, p. 65, avant-dernière et dernière ligne : lire : « 10.4 p.c. de l’outillage actif des cokeries anglaises » au lieu de « 10.7 p.c. de l’outillage en ordre de marche des cokeries anglaises ».
(page 86 note 5) R.C. SMART, The Economics of The Coal Industry, London, 1930, pp. 51 à 53.
(page 86 note 6) La terminologie technique française dénomme «sous-produits», tant le gaz que les sous-produits proprement dits.
(page 87 note 1) Voir ci-dessus, p. 77 à 81.
(page 88 note 1) Voir annexe 6, p. 105.
(page 88 note 2) Pratiquement, cette valeur est de pure estimation. Nous ne l’avons pas fait intervenir comme composante de la série (50). (Voir 1re partie, p. 126).
(page 88 note 3) Cfr M. BAUMONT, op. cit., pp. 29 à 33, 54 à 56,69 et 70,72, 91. La chronologie semble identique dans les deux pays.
(page 88 note 4) Statistiques des Mines, Minières, Carrières, Usines Métallurgiques et Appareils à vapeur, 1882, p. 5.
(page 88 note 5) Statistiques des Mines, Minières, Carrières, Usines Métallurgiques et Appareils à vapeur, 1894, p. 14.
(page 89 note 1) Rectification. A la sixième ligne de la légende, lire : « benzol (brut + rectifié) ».
(page 89 note 2) (Ouvrage en collaboration). Le mouvement scientifique en Belgique 1830–1905, Bruxelles, 1907, tome I, p. 440.
(page 90 note 1) M. BAUMONT, op. cit., pp. 32 et 55.
(page 90 note 2) M. BRABANT, Aperçu sur l’histoire de l’industrie du gaz en Belgique, dans Revue Générale du Gaz, 1949, n° 1, pp. 12 et 13.
(page 90 note 3) M. BRABANT, op. cit., pp. 5, 6 et 13.
(page 90 note 4) A. VAN DEN HENDE, Transports du gaz, Centenaire de VAssociation des Ingénieurs sortis de l’Ecole de Liège (A. I. Lg), Congrès 1947, Liège, Section «Transports», tome 2, p. 232.
(page 91 note 1) Notamment, ces statistiques ne font pas connaître la demande « directe » •des laminoirs.
(page 91 note 2) Cfr le prix du sulfate d’ammoniaque de récupération de cokerie (graphique XIV) dont le marché est réglé par celui de l’ensemble des autres produits nitrés.
(page 91 note 3) H.C. JUNGELS, L’industrie de l’azote et ses dérivés, Centenaire de l’Association des Ingénieurs sortis de l’Ecole de Liège (A.I.Lg), Congrès 1947, Liège, Section « Chimie », Sous-Section « Chimie Minérale », pp. 26, 31 et 27. — Voir aussi «Recueil Financier», Vo «Centrale du Centre pour la Fabrication de l’Ammoniaque Synthétique ».
(page 92 note 1) Les indices sont calculés sur la moyenne arithmétique des années 1936, 1937, 1938 = 100.
(page 93 note 1) Recueil Financier, Vo « DISTRIGAZ ».
(page 93 note 2) A. VAN DEN HENDE, op. cit., p. 232.
(page 94 note 1) Renseignements communiqués par la FIGAZ — Voir aussi Recueil Financier, Vo « DISTRIGAZ ».
(page 94 note 2) A. VAN DEN HENDE, op. cit., p. 232.
(page 95 note 1) Depuis 1940, deux de plus : une à Liège et une à Charleroi.
(page 95 note 2) La cokerie de la régie de Gand est isolée de toute liaison directe ou indirecte avec un réseau de transport.
(page 95 note 3) Nous considérons comme telles, toutes les usines qui ne sont pas quali fiées « cokeries » par l’Administration des Mines.
(page 95 note 4) Fin 1939, 19 usines. Depuis, deux ont été détruites par faits de guerre et n’ont pas été remises en service après les hostilités; une a son réseau alimenté depuis une usine française; deux sont alimentées depuis DISTRIGAZ. Dans ce nombre, il ne faut pas comprendre les usines productrices de gaz à l’eau, conservées en réserve par certains distributeurs.
(page 95 note 5) Les cokeries doivent couper le gaz riche de distillation pour le ramener au pouvoir calorifique spécifique « légal ». Elles font face aux pointes éventuelles de consommation, non couvertes par les réserves gazométriques, par four nitures de gaz à l’air des gazogènes, du reste indispensables pour la marche en « compound » dans les cokeries non-sidérurgiques, gaz à l’eau, gaz de haut fourneau ou restgas de synthèse. Ce sont les gaz de complément dont il est question à l’annexe 10, p. 121 et p. 122, note (2).
(page 97 note 1) Par rectification, on tend à valoriser le benzol comme tel. Jusque et y compris 1929, les statistiques ne nous permettent pas de distinguer benzol brut et benzol rectifié. Nous avons continué de la sorte, jusqu’en 1939, pour l’homogénéité des séries. Comme le benzol brut et le benzol rectifié, ainsi que le montre leurs valeurs unitaires, sont des produits économiquement différents, les séries (61), (62), (69) et (75) ne nous permettent que de dégager la tendance.
(page 97 note 2) Renseignements communiqués par le Service « Fours à coke » de la Société COPPÉE.
(page 97 note 3) E.H. GRAND’RY, La distillation continue des goudrons, Centenaire de l’Association des Ingénieurs sortis de l’Ecole de Liège (A.I.Lg), Congrès de 1947, Liège, Section « Chimie », tome 3, Sous-Section « Mise en valeur chimique des houilles » p. 15.
(page 98 note 1) Voir 1re partie, p. 117.
(page 99 note 1) Voir 1re partie, pp. 91 et 92.
(page 99 note 2) Voir Ire partie, p. 117.
(page 100 note 1) Le coke et la fonte ont des sensibilités au cycle voisines (Voir 1re partie, pp. 91 et 92). La série (42a) « prix unitaire du coke/prix unitaire de la fonte » donne donc une idée assez précise de la part relative du premier dans le coût de production d’une tonne de la seconde, mais ne permet, toutefois, quede dégager les tendances.
(page 100 note 2) Voir 1re partie, p. 89.
(page 100 note 3) Voir aussi, en ce moment, la politique des combustibles de traction des Chemins de fer de l’Etat belge, qui se constituent fabricant de coke. (Cfr 1re partie, pp. 71 à 76).
(page 101 note 2) A. WIBAIL, L’évolution économique de l’industrie charbonnière belge depuis 1831, op. cit. Voir notamment pp. 8, 9, 21 et 27, ainsi que le graphique III.
(page 104 note 1) Voir 1re partie : p. 81, objet du SYNDICAT des COKES BELGES (1894–1914); p. 84, accords germano-belges des cokes (1894–1914). SYNDICAT BELGE DES COKES ET CHARBONS A COKE (1929–1934), objet de la convention entre le SYNDICAT et les fabricants de coke affiliés (article I), p. 70 ci-dessus.
(page 104 note 2) Voir 1« partie, p. 123, séries (28) à (30).
(page 105 note 1) Voir 1re partie, p. 66.
(page 105 note 2) En 1948, 2, 4 p. c. de la production totale de la cokerie belge. Voir G. LEBURTON, La situation actuelle de l’industrie du gaz en Belgique, Annales des Mines, 1er sept. 1949, p. 582.
(page 105 note 3) 259.000 T, disponibles en 1907, contre 20.000 T, en 1948. Voir : G. DE LEENER, Le marché charbonnier belge, p. 47 et G. LEBURTON, op. cit., p. 582.
(page 106 note 1) G. DE LEENER, Le marché charbonnier belge : teneur en cendres des qualités supérieures des cokes, p. 30; garantie du SYNDICAT belge, p. 80; opinion des consommateurs sur les qualités des cokes fournis, p. 150.
(page 106 note 2) Voir 1re partie, p. 104, note (4).
(page 106 note 3) On peut estimer qu’elle a rétrogradé depuis 1940, la consommation du gaz et du mazout dans l’usage domestique, étant plus importante en 1948 qu’avant les hostilités.
(page 106 note 4) La note (*), p. 119, 1re partie, doit donc être rectifiée en conséquence.
(page 107 note 1) Communiqués par le COMPTOIR BELGE DES COKES.
(page 107 note 2) Voir p. 74 ci-dessus.
(page 107 note 3) Après la guerre, les stocks de coke ont atteint leur maximum en juillet 1949. Les cokeries «métallurgiques», y compris Vilvorde, n’interviennent que pour 2,3 p.c. du stock national de coke de haut fourneau proprement dit.
(page 107 note 4) Il n’est donc pas vrai que, pendant la période étudiée, « les stocks de coke ont été habituellement des plus minces ». Dans la 1re partie, la note (**), p. 119, doit donc être rectifiée.
(page 108 note 1) Voir 1re partie, pp. 83 et 81.
(page 108 note 2) Errata. 1re partie, p. 139. Lire : série (117), « (115) : (109) »; série (118), (115) : (112)»; série (119), « (115) : (110) »; série (120), « (115) × 1.000 : (113)».
(page 112 note 1) Dans la 1re partie, p. 108 : la note (2) doit être rectifiée en; « Annexe 8, IIme tableau, années 1926 et 1937 ».
(page 112 note 2) Communiquée par la DIRECTION GÉNÉRALE.
(page 112 note 3) Annales des Mines, 1938, pp. 1127 et sv.
(page 112 note 4) Recensement Général du 15 octobre 1846, dans le volume « Industrie »: Hainaut, pp. 252 et 253, et Liège, pp. 320 à 321.
(page 112 note 5) Voir 1re partie, pp. 68 à 74.
(page 112 note 6) Nous ignorons s’il s’agit de fours disponibles ou de fours actifs.
(page 118 note 1) cfr 1re partie, p. 129, séries (67) et (73). A la série (73), il convient de rectifier les rendements des années 1932 et 1937, qui sont respectivement « 131 » et « 147 », au lieu de « 147» et « 149 ».
(page 118 note 2) Depuis 1945, pour augmenter leur production de gaz sans accroître celle de coke, certaines usines enfournent des huiles lourdes avec leurs fines.
(page 118 note 3) Il s’agit du pouvoir calorifique spécifique supérieur, mesuré à 0 C°, sous 760 mm. de mercure.
(page 119 note 1) Renseignements techniques communiqués par la FIGAZ.
(page 119 note 2) Le dénominateur de la fraction n’est pas assez sensible, notamment jusqu’en 1929, mais le progrès fut effectivement assez rapide vers 1930. De <;e chef, les variations de la série (218) sont trop accentuées.
(page 119 note 1) A l’exclusion de toute fourniture directe aux gros consommateurs (sidérurgie, synthèse de l’azote, verrerie…).
(page 119 note 2) De 1937 à 1939, il n’y a pas eu de production du genre mentionné dans. le 2°.
(page 122 note 1) P. C. calculé sur la moyenne arithmétique des trois années.
(page 122 note 2) Les fournitures faites aux industries alimentées directement par les «okeries sont données par : série (67) × 1,2 (1) + volumes de gaz complémentaires (2) — série (221) (3) — utilisation dans les cokeries pour d’autres usages que le chauffage des fours (4) — pertes propres dans les cokeries (5). Les termes (2), (4) et (5) sont inconnus. Il convient de remarquer que la consommation de gaz de complément par les consommateurs directs sont minimes. Il en est de même des termes (4) et (5).
(page 122 note 3) Recueil Financier, V° « DISTRIGAZ ».
(page 123 note 1) Les réserves gazométriques fin d’année n’apparaissent pas ci-dessous mais elles sont minimes.
(page 124 note 1) Le dépôt des Archives de l’Etat à Liège a été endommagé par fait de guerre, fin 1944. Les documents de la IIme Inspection y déposés ont été partiellement détruits et les autres demeurent inutilisables, faute de classement. Ils n’ont donc pu servir à combler les lacunes constatées dans les archives conservées à Bruxelles.
(page 124 note 2) De 1875 à 1880 inclus, la « Situation Administrative des Provinces » nous a fourni les chiffres relatifs à Liège. Ceux de 1879 ont dû être interpolés.
(page 125 note 1) Encore les chiffres de 1923 et 1924 sont-ils douteux. La consommation globale de coke nous est inconnue (voir 1re partie, p. 104, note (4)) et, « a fortiori » sa composante belge, depuis la constitution de l’Union Economique Belgo-Luxembourgeoise.