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Published online by Cambridge University Press: 11 October 2017
page 136 note 1. Gambino, Amédéo, Le Crédit dans l'économie moderne, P.U.F., 1967 Google Scholar. Denizet, Jean, Monnaie et Financement, Paris, Dunod, 1967 Google Scholar. Maurice Allais, « Les conditions de l'expansion dans la stabilisation », Revue d'Économie Politique, janvier-février 1967.
page 136 note 2. Sur la théorie du Crédit au XIXe siècle, outre les analyses de Gambino, on peut citer l'ouvrage de S. de Brunhoff, La Monnaie chez Marx, Éditions Sociales, 1967, qui expose la théorie de Marx sur le Crédit.
page 136 note 3. L'épargne est définie comme la partie non consommée du revenu monétaire.
page 137 note 1. Par ailleurs, Gambino doit reconnaître que le financement systématique des investissements par les banques — épargne forcée bancaire — représente un danger inflationniste certain.
page 137 note 2. La théorie du pouvoir discrétionnaire du système bancaire apparaît chez Wicksell et surtout chez Hartley Withers, dans son célèbre ouvrage The meaning of money, 1909.
page 137 note 1. La démonstration de Friedman est très bien résumée dans : Guillaumont-Jeanneney, S., Cahier de H.S.E.A., juillet 1966, série P; n” 12, pp. 133 Google Scholar à 136.
page 137 note 2. Dans son ouvrage : « Déterminants and effects of changes in the stock of money », N.B.E.R., New York, 1965.
page 137 note 3. Il est certain que dans une économie ouverte, le volume de la monnaie centrale est affecté par le solde de la balance des paiements.
page 138 note 1. Gambino distingue la thésaurisation d'épargne et la thésaurisation induite de monnaie de crédit. Lorsque le public accroît sa demande de monnaie et laisse une part croissante de son revenu dans les banques, il y a thésaurisation d'épargne. Quand sur cette base la banque crée des dépôts, si ceux-ci ne sont pas utilisés par les bénéficiaires des crédits, il y a de leur part thésaurisation de monnaie de crédit mais pas thésaurisation d'épargne.
page 139 note 1. Sur cette question, l'article précité des Cahiers de l'I.S.E.A. constitue une excellente mise au point. La thèse de Friedman a un fondement économique : des études statistiques ont fait apparaître le caractère déséquilibrant de la politique monétaire, compte tenu notamment, des délais.
page 139 note 1. Cette méthode s'inspire des travaux de R.W. Goldsmith, notamment : Facteurs déterminants de la structure financière, O.C.D.E., Paris, 1966. Les ratios mentionnés au texte nous paraissent beaucoup plus utilisables pour mesurer l'effet inflationniste d'une structure financière que ceux que retient Goldsmith : le taux d'intercalations financières, qui est le rapport des actifs financiers aux actifs réels et le taux d'intermédiation qui est le rapport entre les actifs émis par les intermédiaires financiers et ceux émis par les unités non financières.
page 139 note 2. Sur ce point : Annexes au rapport de la Commission de l'Économie Générale et du Financement pour le V Plan, p. 131 et suiv.
page 140 note 1. Une pareille erreur est à la base de la politique du revenu qui s'attaque à certaines des conséquences de l'inflation mais non pas à sa cause.
page 140 note 2. Un résumé correct du débat est présenté dans : Jequier, Rémi, La Politique des réserves obligatoires, Droz, 1966, pp. 327–349.Google Scholar
page 140 note 3. Si a est le taux de réserve, b la proportion de billets, la formule simplifié du multiplicateur de crédit est : K = 1/a+b Comme b est en gros une constante, la capacité de crédit des banques dépend du taux de réserve qui lui est inversement proportionnel.
page 140 note 1. V, Daniel, dans Analyse et Prévisions, n° 978, 20 février 1967 : « L'Institution d'un Coefficient de Réserves comme Moyen de Contrôle du Crédit », notamment p. 128.