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Published online by Cambridge University Press: 27 April 2010
Globalization is both a fact of life, principally in economics, technology and communication, and an international view of the world. It needs to be considered in terms of its inherent ambivalence and contradictions: it can, for instance, promote cultural and scientific exchange, but it also facilitates coordination between criminal organizations; through the dissemination of human rights it may help to give greater freedom, but may also destroy cultures or inflict damage on traditional economies.
1 Voir notamment: Soros, George, George Soros On Globalization, Public Affairs, New York, 2002Google Scholar; Kay, Sean, «Globalization, power, and security», Security Dialogue, Vol. 35, No1, Mars 2004, pp. 9–23CrossRefGoogle Scholar.
2 Voir de Senarclens, Pierre, Mondialisation, souveraineté et théorie des relations internationales, Armand Colin, Paris, 1998Google Scholar, en particulier le chapitre 4: «Aspects sociaux de la mondialisation». Du même auteur, voir aussi: « L'humanitaire et la globalisation », Revue internationale de la Croix-Rouge, Vol. 82, No836, 2000, pp. 311–325Google Scholar. Pour une analyse critique voir également: Halimi, Serge, Le grand bond en arriére, Fayard, Paris, 2004.Google Scholar
3 Nous devons aussi mentionner ici un autre «mouvement» de population, dans un sens géographiquement inverse: le tourisme, qui peut bien sur favoriser le contact entre des personnes et leur culture, mais qui provoque aussi des effets sur les cultures authentiques. Dans un autre registre, bien reel aussi, il y a une «globalisation des maladies», notre monde devenant plus sensible aux épidémies ou même simplement à la transmission transnationale et rapide de maladies.
4 Voir: Abraham, Garth, ‘‘Africa, the tragedy; Africa, the challenge’, NEPAD and the new humanitarian agenda», et Christoph Harnisch, «Le CICR en Afrique: contexte et défis», les deux publicés dans la Revue Internationale de la Croix-Rouge, Vol. 85, No852, respectivement pp. 717–736 et pp. 737–748.CrossRefGoogle Scholar
5 Sen, Amartya, «Guerres et famines: divisions et incitations», Désarmement (ONU), Vol. XIX, No3, 1997, pp. 16–31Google Scholar; du même auteur: «Global inequality and persistent conflicts», Communication présentée au Nobel Peace Prize Centennial Symposium, Oslo, Décembre 2001. Voir également: Gilbert Etienne, «Globalization and poverty in developing countries: Myths and facts», The Geneva Forum, juin-septembre 2003, pp. 4–15; Sylvie Brunei, Famines et Politique, Presses de sciences politiques, Paris, 2001.
6 Voir notamment: Forum: War, Money and Survival, Comité international de la Croix-Rouge, Genève, 2000Google Scholar; Münkler, Herfried, Les guerres nouvelles, Alvik éditions, Paris, 2003Google Scholar; et du même auteur: «The wars of the 21st century», Revue Internationale de la Croix-Rouge, No849, mars 2003, pp. 7–22.Google Scholar
7 Voir notamment: von Hippel, Karin, ‘Définir les origines du terrorisme: un débat transatlantique?», La revue Internationale et stratégique, No51, automne 2003, pp. 103–113CrossRefGoogle Scholar; Metz, Steven, «La guerre asymétrique et l'avenir de l'Occident», Politique étrangère, 1/2003, pp. 25–40.CrossRefGoogle Scholar
8 Voir notamment: Thual, Franĉois, Les conflits identitaires, Éditions Ellipses, Paris, 1995Google Scholar.
9 Ogata, Sadako et Sen, Amartya, La sécurité humaine maintenant. Rapport de la Commission sur la sécurité humaine. Presses de sciences politiques, Paris, 2003, p. 18.Google Scholar
10 Pour une analyse générate de l'action et des défis qui se posent au CICR aujourd'hui, nous renvoyons á I'ouvrage de Mercier, Michéle, Le Comité international de la Croix-Rouge. L'action humanitaire dans le nouveau contexte mondial, Collection « Le savoir suisse », Presses polytechniques et universitaires romandes, Lausanne, 2004.Google Scholar