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Published online by Cambridge University Press: 26 July 2017
1. En 1799, sur 274 élèves, 160 sont « pauvres », 75 « aisés », 39 « riches » (pp. 13-18) ; en revanche Napoléon introduit la redevance de 1 000 F pour frais de scolarité (p. 25) et les trois quarts des polytechniciens vont dans l'armée (p. 29).
2. S. W. SERMAN, Le corps des officiers français sous la Deuxième République et le Second Empire thèse Lille III, 1978, tome 1, p. 663.
3. Cf. Ringer, F., Education and sociely in Modem Europe Bloomington et Londres, Indiana Univ. Press, 1979, p. 135 Google Scholar : la population de l'enseignement secondaire représente en 1842, 1,2 % des classes d'âge considérées et 2,4 % en 1876.
4. Le terme de « haute bourgeoisie » nous semble un faux sens historique. S. W. Serman a en effet montré dans sa thèse que les individus qu'on englobait sous ces mots à l'époque étaient peu attirés par l'armée, or c'était le principal débouché de l'École polytechnique.
5. Annexe déjà publiée dans la Revue française de Sociologie 1978, 1, pp. 39-72. Cf. Saint-Martin, Monique De, Les fonctions sociales de l'enseignement supérieur scientifique Paris-La Haye, Mouton, 1971, p. 62 Google Scholar ss.