After certain preliminaries, Baudelaire plunges into the main body of his essay on laughter, “De l'essence du rire,” with these striking words: “Le Sage ne rit qu'en tremblant. De quelles lèvres pleines d'autorité, de quelle plume parfaitement orthodoxe est tombée cette étrange et saisissante maxime? Nous vient-elle du roi philosophe de la Judée? Faut-il l'attribuer à Joseph de Maistre, ce soldat animé de l'Esprit-Saint? J'ai un vague souvenir de l'avoir lue dans un de ses livres, mais donnée comme citation, sans doute. Cette sévérité de pensée et de style va bien à la sainteté majestueuse de Bossuet; mais la tournure elliptique de la pensée et la finesse quintessenciée me porteraient plutôt à en attribuer l'honneur à Bourdaloue, l'impitoyable psychologue chrétien.” Of course, it is the variations which Baudelaire extracted from his somber theme, “Le Sage ne rit qu'en tremblant,” and, even more, his own original suggestions, which are of primary interest to the reader and student of Baudelaire. But in view of the speculations which occupy most of the passage above, the secondary question of the source of that theme is one which obviously intrigued Baudelaire and one, therefore, which calls for an answer from his present-day students.